«Il va finir par ne plus rester grand monde pour soutenir» Laurent Wauquiez, selon Hervé Marseille
Pour le président du groupe Union centriste au Sénat, Laurent Wauquiez, le président de LR, n’est pas en capacité de rassembler.

«Il va finir par ne plus rester grand monde pour soutenir» Laurent Wauquiez, selon Hervé Marseille

Pour le président du groupe Union centriste au Sénat, Laurent Wauquiez, le président de LR, n’est pas en capacité de rassembler.
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Il y a, d’un côté, les relations au Sénat, et de l’autre, les relations entre partis. À la Haute assemblée, centristes et membres du groupe Les Républicains « travaillent beaucoup » ensemble, « main dans la main », les premiers soutenant la politique impulsée par Gérard Larcher, selon Hervé Marseille, le patron des sénateurs centristes.

Entre l’UDI et le parti LR, en revanche, ce n’est plus le grand amour. Depuis la présidentielle, cette alliance « n’est plus naturelle », explique le sénateur des Hauts-de-Seine sur notre antenne.

« Nous ne sommes pas sur la ligne de M. Wauquiez. Et d’ailleurs, il nous le rend bien, il ne veut pas entendre parler des centristes qui pourraient polluer son discours. C’est dommage, car quand on veut être président de la République, il faut mieux rassembler », a expliqué le sénateur. Constatant que Laurent Wauquiez fracture au sein même de son propre camp, Hervé Marseille se montre très sévère envers le président du conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes :

« Il va finir par ne plus rester plus grand monde pour soutenir. »

Partager cet article

Dans la même thématique

«Il va finir par ne plus rester grand monde pour soutenir» Laurent Wauquiez, selon Hervé Marseille
3min

Politique

Héritage des Jeux : « En 6 ans, on a pu faire ce qu’on aurait dû faire en 30, 35 ans » affirme le sénateur de Seine-Saint-Denis Adel Ziane

Une croisière sur le canal Saint-Denis, des visites des sites olympiques de Paris 2024… Et si les Jeux avaient transformé l’image de la Seine-Saint-Denis au point de rendre ce département plus touristique ? Un an après les JOP, quel est le résultat ? La Seine-Saint Denis a-t-elle changé de visage ? Oui, déclare le sénateur du département Adel Ziane, dans l’émission Dialogue Citoyen, présentée par Quentin Calmet.

Le

«Il va finir par ne plus rester grand monde pour soutenir» Laurent Wauquiez, selon Hervé Marseille
3min

Politique

« C'est 50.000 euros de manque à gagner » : un an après les Jeux, ce para-sportif dénonce le départ de ses sponsors

Un an après, quel est l’héritage des Jeux olympiques et paralympiques ? Inclusion, transports, infrastructures, sponsors… pour Sofyane Mehiaoui, joueur de basket fauteuil qui a représenté la France, si l’accès à la nouvelle Adidas Arena porte de Clignancourt à Paris est un vrai bénéfice, le départ de ses sponsors révèle le manque d’engagement durable des marques auprès de parasportifs. Il témoigne dans l'émission Dialogue Citoyen, présenté par Quentin Calmet.

Le

«Il va finir par ne plus rester grand monde pour soutenir» Laurent Wauquiez, selon Hervé Marseille
6min

Politique

Agences de l’État, qui veut gagner des milliards ? 

La ministre des Comptes publics propose de supprimer un tiers des agences de l'État pour faire deux à trois milliards d’économies. Seulement, pour en rayer de la liste, encore faudrait-il savoir combien il en existe…Une commission d'enquête sur les missions des agences de l’État s’est plongée dans cette grande nébuleuse administrative. ARS, France Travail, OFB, CNRS, ADEME, ANCT, des agences, il y en a pour tous et partout ! Mais “faire du ménage” dans ce paysage bureaucratique touffu rapportera-t-il vraiment les milliards annoncés par le gouvernement et tant espérés par la droite ? Immersion dans les coulisses de nos politiques publiques…

Le

President Emmanuel Macron Visits the 55th Paris Air Show at Le Bourget
7min

Politique

Budget 2026 : « Emmanuel Macron a une influence, mais ce n’est pas le Président qui tient la plume »

Le chef de l’Etat reçoit lundi plusieurs ministres pour parler du budget. « Il est normal qu’il y ait un échange eu égard à l’effort de réarmement qui est nécessaire », explique l’entourage d’Emmanuel Macron. « Il laisse le gouvernement décider », souligne le macroniste François Patriat, mais le Président rappelle aussi « les principes » auxquels il tient.

Le