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Les sénateurs refusent la proposition du gouvernement de décaler la majoration des allocations allocations familiales à partir de l'âge de dix-huit ans. L’économie devait servir à financer le congé supplémentaire de naissance.
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Par Public Sénat
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Le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot a tendu la main lundi au candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon, voyant en lui "le plus écolo-compatible" et l'invitant à le rejoindre s'il ne l'emportait pas fin janvier.
Interrogé par Le Talk-Le Figaro pour savoir si l'ancien ministre de l’Éducation était "le plus écologiste" des quatre "grands candidats" (Manuel Valls, Vincent Peillon, Arnaud Montebourg et lui-même) à la primaire des 22 et 29 janvier, M. Jadot a répondu: "incontestablement".
"Les autres sont d'accord sur le nucléaire, le diesel, Notre-Dame-des-Landes donc les autres sont quand même terriblement dans le vieux monde, ce monde qui veut plutôt défendre et financer l'économie du passé plutôt que d'investir dans le nouveau monde, et construire des ruptures", a-t-il argumenté.
"S'il est désigné, on va voir ce qu'il va faire de sa candidature", a-t-il toutefois prévenu. "Mais j'ai aussi entendu Benoît Hamon dire +je ne pourrai plus soutenir un candidat productiviste y compris issu du PS+ donc, si Benoît Hamon perd, qu'il vienne, qu'il nous rejoigne, qu'il apporte ses compétences, ses idées, son énergie", a-t-il ajouté.
Le candidat à la primaire socialiste a lui-même déjà tendu à plusieurs reprises la main à M. Jadot qui a remporté début novembre la primaire écologiste.
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