JO : Anne Hidalgo « heureuse » du « nouveau pas important » vers un accord

JO : Anne Hidalgo « heureuse » du « nouveau pas important » vers un accord

La maire PS de Paris Anne Hidalgo s'est déclarée "heureuse" lundi soir que Los Angeles annonce une candidature pour 2028, un ...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

La maire PS de Paris Anne Hidalgo s'est déclarée "heureuse" lundi soir que Los Angeles annonce une candidature pour 2028, un "nouveau pas important" ouvrant la voie des JO pour Paris en 2024.

Sur Twitter et Facebook, la maire de la capitale a rappelé que "début juillet, les membres du CIO ont ouvert la voie à une double attribution des Jeux 2024 et 2028".

"Depuis, nous travaillons tous ensemble à construire un accord innovant et positif qui permettrait de faire trois gagnants : la famille olympique, Paris et Los Angeles. Je suis heureuse que mon ami Eric Garcetti, maire de Los Angeles, fasse aujourd'hui un nouveau pas important", ajoute la maire.

Les "discussions entre nos deux villes et le CIO vont se poursuivre tout au long du mois d'août. Nous voulons proposer aux membres du CIO l'accord le plus ambitieux possible pour l'avenir de l'olympisme", ajoute le texte.

"Cet accord, qui doit permettre à Paris d'accueillir les Jeux en 2024, je le veux aussi le plus utile possible pour les Parisiens. Nous allons tout faire pour que le vote à Lima, le 13 septembre, soit un moment historique !", conclut Mme Hidalgo.

La présidente LR de la région Ile-de-France Valérie Pécresse, également partenaire de la candidature, a pour sa part écrit sur Twitter : "La candidature de Paris 2024 franchit une nouvelle étape" avec la décision du maire de Los Angeles, "tous unis pour avoir les jeux Olympiques à Paris!".

Los Angeles s'est officiellement portée mardi candidate à l'organisation des jeux Olympiques et paralympiques 2028 et offre ainsi quasi définitivement la victoire pour 2024 à Paris, ce qui évite au CIO un choix cornélien.

Un accord tripartite devra maintenant être formellement signé entre le CIO, Paris et Los Angeles avant la validation le 13 septembre à Lima par la session du CIO de la double attribution.

Dans la même thématique

JO : Anne Hidalgo « heureuse » du « nouveau pas important » vers un accord
3min

Politique

Dissuasion nucléaire française élargie : « Impossible d’imaginer qu’il y ait 27 doigts sur un bouton »  pour Bernard Guetta

L’heure est à l’urgence pour les Européens. Dans un climat mondial tendu, avec les décisions américaines de ne plus participer massivement à la protection des Européens, les dirigeants des États membres de l’Union convergent vers l’idée d’une défense européenne commune, et surtout, d’un réarmement massif. À quoi correspondent les 800 milliards promis par la Commission européenne ? Pour quels achats ? Quid de l'élargissement de dissuasion nucléaire française aux autres pays européens ? Caroline de Camaret et Alexandre Poussart ouvrent le débat dans Ici l’Europe avec l’eurodéputé français Bernard Guetta, et l’Allemande Hannah Neumann du parti des Verts.

Le

Taxe Zucman : après les députés, les sénateurs écologistes à l’offensive sur le projet d’impôt de 2 % sur la fortune des plus riches
6min

Politique

Taxe Zucman : après les députés, les sénateurs écologistes à l’offensive sur le projet d’impôt de 2 % sur la fortune des plus riches

La proposition de loi des députés écologistes, adoptée en février à l’Assemblée nationale, sera inscrite dans le prochain espace réservé de leurs homologues sénateurs. Inspiré des travaux de l’économiste Gabriel Zucman, le texte instaure un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des « ultra-riches ». Ses chances d’adoption au Sénat sont très minces, mais ses partisans espèrent convaincre.

Le

JO : Anne Hidalgo « heureuse » du « nouveau pas important » vers un accord
3min

Politique

Réarmement : « Je pense que la Russie n’est pas une menace pour le territoire français », estime Éric Coquerel

Invité de la matinale de Public Sénat, le président de la commission des finances de l’Assemblée nationale, Éric Coquerel revient sur la réunion à Bercy pour financer l’industrie de la défense. Si l’insoumis reconnaît une réflexion nécessaire, il estime cependant que la Russie ne représente pas une menace existentielle pour la France. Par ailleurs, le député demande au gouvernement d’organiser un débat avec vote au Parlement sur le sujet du réarmement.

Le