L’appel à l’aide des agriculteurs, avec La Dépêche du Midi
L’agriculture appelle à l’aide en une de La Dépêche du Midi, ce matin.

L’appel à l’aide des agriculteurs, avec La Dépêche du Midi

L’agriculture appelle à l’aide en une de La Dépêche du Midi, ce matin.
Public Sénat

Par Oriane Mancini

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Eric Berger, le rédacteur en chef adjoint La Dépêche du Midi, basé à Toulouse, nous explique pourquoi dans cet entretien. Il nous présente les 8 pages spéciales consacrées aux difficultés de cette filière.

Comment faire face au manque de main d’œuvre ? Quelles conséquences de la fermeture des marchés et quelles solutions pour les petits producteurs ? Décryptages, témoignages et réactions.

La Dépêche du Midi se mobilise aussi pour accompagner ses lecteurs dans cette crise sanitaire et ce confinement avec des pages de conseils.

Retrouvez tous les détails dans cette interview et, chaque jour, un nouveau partenaire de presse régionale nous informe du contenu de son journal.

Partager cet article

Dans la même thématique

L’appel à l’aide des agriculteurs, avec La Dépêche du Midi
3min

Politique

Crise agricole : « Les agriculteurs ont le sentiment justifié que le gouvernement et l’Union européenne ne veulent plus que l’élevage français prospère »,  pointe Jean-Philippe Tanguy

Invité de la matinale de Public Sénat, le président du groupe RN à l’Assemblée nationale a salué le « mouvement populaire » des agriculteurs. Tandis que les abattages et les vaccinations se poursuivent et que la signature de l’accord du Mercosur n’a jamais été aussi proche, les actions des agriculteurs français redoublent d’intensité. Hier, plus de 80 actions ont été recensées sur l’ensemble du territoire.

Le

L’appel à l’aide des agriculteurs, avec La Dépêche du Midi
3min

Politique

Budget : Amélie de Montchalin assume le dialogue avec le PS plutôt qu’avec le RN au nom des « valeurs gaullistes »

A 48 heures de la réunion de la commission mixte paritaire sur le projet de loi de finances, le ton est monté d’un cran entre le gouvernement et la droite sénatoriale qui refuse d’endosser la responsabilité d’un niveau de déficit, porté à 5,3 %. Aux questions d’actualité au gouvernement du Sénat, Amélie de Montchalin indique que le gouvernement a choisi « en conscience de travailler avec le Parti socialiste ».

Le