Politique
Le Collège-Lycée expérimental d’Hérouville-Saint-Clair invente une école différente. Créé en 1982 par une poignée de professeurs, cet établissement du Calvados propose des horaires aménagés pour mieux respecter le rythme de l’enfant.
Le
Par Alice Bardo
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« Je lance un appel à la France insoumise dont je ne comprends pas le silence à nos appels depuis dimanche. » Cet après-midi, Pierre Laurent a fait part de son inquiétude pour les législatives des 11 et 18 juin prochains. Depuis sa défaite au premier tour de l’élection présidentielle, Jean-Luc Mélenchon - pour qui le secrétaire national du PCF avait d’ailleurs appelé à voter - ne lui a pas donné signe de vie.
Or « Il faut que nous joignons nos efforts pour préparer la suite », a rappelé Pierre Laurent. Il assure que « la totalité des voix des gauches et écologistes qui se sont portées sur les candidatures de Jean-Luc Mélenchon, Benoît Hamon et des candidats d’extrême gauche devancent celles d’Emmanuel Macron, de Le Pen et de la droite ».
Sans la « mise en commun des énergies des forces de gauche qui ont permis le score de Jean-Luc Mélenchon », il redoute que de nombreuses circonscriptions échappent à la gauche, et notamment que certaines reviennent au Front national et à la droite - « forces ultraréactionnaires » - ou encore à Emmanuel Macron et ses « choix libéraux ».
Car s’il a appelé à voter pour le candidat « En Marche! » au second tour, c’est seulement pour « battre Marine Le Pen » et le « danger » que représente son élection. « Nous ne voulons pas confier tous les rênes de l’Etat, tous les immenses pouvoirs que confère la Ve République au Président, à l’extrême-droite », s’est-il justifié.
Il rappelle que « les députés du PCF et du Front de gauche ont été les adversaires les plus déterminés face aux ministres Macron et El Khomri ».
Sacrée Sécu