La popularité de Macron augmente de deux points, à 29%
Emmanuel Macron et Édouard Philippe ont tous deux gagné légèrement en popularité (+2 points) en décembre, avec 29% d'opinions...

La popularité de Macron augmente de deux points, à 29%

Emmanuel Macron et Édouard Philippe ont tous deux gagné légèrement en popularité (+2 points) en décembre, avec 29% d'opinions...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Emmanuel Macron et Édouard Philippe ont tous deux gagné légèrement en popularité (+2 points) en décembre, avec 29% d'opinions favorables, selon le baromètre Yougov pour le Huff Post publié vendredi.

Dans un sondage réalisé juste avant la mobilisation contre la réforme des retraites, le président de la République perd des points auprès des sympathisants de gauche mais en gagne largement au centre et à droite (+18 points auprès de la droite classique, 44% d'opinions favorables).

La cote de popularité du Premier ministre suit celle du chef de l'État. Il perd des points auprès de la gauche mais gagne 9 points auprès de l'extrême droite (15% d'opinions favorables) et 16 points auprès de la droite modérée (50% d'opinions favorables).

Avec 25% d'opinions favorables, la popularité du gouvernement reste quasiment stable par rapport au mois dernier (+1 point). Moins d'un tiers des Français pensent que le gouvernement "s'adresse à toute la population, pas seulement à ses électeurs" (32%, +4 points), qu'il est "composé de personnes compétentes" (25%, +2 points) et que "la société qu'[il] prône est globalement celle dans laquelle [ils] souhaitent vivre" (25%, +5 points).

La protection sociale est la principale inquiétude des Français (20%, +3 points) devant le chômage et l'emploi (17%, +2 points) ainsi que l'immigration (15%, stable). L'écologie quant à elle recule de 2 points (10%).

Enquête réalisée en ligne du 2 au 3 décembre 2019 auprès de 1.037 personnes représentatives, selon la méthode des quotas.

Partager cet article

Dans la même thématique

La popularité de Macron augmente de deux points, à 29%
4min

Politique

Réforme des retraites : « La suspension est un leurre, elle sera retoquée en commision mixte paritaire », avertit Cécile Cukierman (PCF)

Au Sénat, la droite et une partie de la gauche tombent d’accord sur une chose : la procédure parlementaire permettra à la droite et le centre d’enterrer la suspension de la réforme des retraites. Un fait qui inspire de la sérénité à Claude Malhuret (Horizon) sur la possibilité de réécrire la copie de Sébastien Lecornu, et pousse au contraire Cécile Cukierman (PCF) à enjoindre les députés de gauche à le prendre en compte dans leur vote de la censure ce jeudi.

Le

Paris: Questions au gouvernement Assemblee nationale
4min

Politique

Budget : l’abandon du 49.3 va-t-il prendre les socialistes à leur propre piège ?

Avec le non-recours au 49.3, les socialistes ont été entendus par Sébastien Lecornu. Mais ils sont désormais contraints à voter le budget de la Sécurité sociale pour valider la suspension de la réforme des retraites. Un véhicule législatif confirmé par le Premier ministre, ce mercredi. Sans cette arme du parlementarisme rationalisé, les budgets de la Sécurité sociale comme celui de l’Etat seront également amendés par la droite. Ce qui pourrait amener à des copies finales difficiles à assumer pour les socialistes.

Le

Direct. Suivez la déclaration de politique générale de Sébastien Lecornu devant le Sénat
30min

Politique

Sébastien Lecornu accueilli froidement au Sénat : revivez les temps forts de la déclaration de politique générale

Le Premier ministre s'est exprimé devant les sénateurs pour sa déclaration de politique générale. Suspension de la réforme des retraites, décentralisation, budget...Le discours de Sébastien Lecornu était différent de celui prononcé à l'Assemblée la veille. Si l'ambiance était plus calme qu'au Palais Bourbon, l'accueil des sénateurs n'en était pas pour autant très enthousiaste.

Le

La popularité de Macron augmente de deux points, à 29%
9min

Politique

Budget : « Incertain » en 2029, le passage à 3 % de déficit arrivera « au mieux en 2031 », alerte Pierre Moscovici

« Le scénario économique pour l’année 2026 repose sur une hypothèse optimiste », affirme devant le Sénat Pierre Moscovici, président du Haut conseil des finances publiques. Il doute de la capacité du gouvernement à atteindre ses objectifs, avec un budget dont la copie finale est très incertaine. Seule « bonne nouvelle » : « Un début d’amélioration de nos finances publiques » en 2025, après « le bug majeur de 2024 ».

Le