Laurent Wauquiez : « Il est évident que nous devons défendre François Fillon »
Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes assure François Fillon de son soutien, alors que plusieurs membres du parti Les Républicains ont décidé de ne plus soutenir le candidat de la droite.

Laurent Wauquiez : « Il est évident que nous devons défendre François Fillon »

Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes assure François Fillon de son soutien, alors que plusieurs membres du parti Les Républicains ont décidé de ne plus soutenir le candidat de la droite.
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Alors que plusieurs élus et cadres républicains ont fait défection, Laurent Wauquiez, ancien soutien de Nicolas Sarkozy, assure rester derrière François Fillon. « Pour moi, il est évident que nous devons défendre notre candidat et surtout notre programme. C’est sans doute là-dessus que je mettrai l’accent, le programme ».

« Cette bataille, il faut la porter. On peut tous avoir eu des interrogations, des doutes, mais le vrai sujet est : en 2017, qu’est ce que vous voulez ? Car si ce n’est pas François Fillon, ce sera la gauche ».

Depuis le salon de l’agriculture, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes estime que Marine Le Pen, en tête des intentions de vote chez les agriculteurs, « n’a pas compris l’agriculture française ». « Son discours ne passe que par des primes et des subventions. Ce qu’elle propose, c’est de remplacer la technocratie européenne à la technocratie française. Moi je ne veux pas de charges, et qu’on aide les agriculteurs à investir et supprimer ces normes qui étouffent l’agriculture ».

Partager cet article

Dans la même thématique

Laurent Wauquiez : « Il est évident que nous devons défendre François Fillon »
4min

Politique

Budget : « Nous avons tout à fait matière à trouver le compromis », estime la ministre de l’Action et des Comptes publics

Adopté sans surprise par les sénateurs, le projet de loi de finances éveille malgré tout des crispations au sein de la Chambre haute, le chiffre du déficit avoisinant désormais les 5,3% du PIB, loin de la volonté de la majorité sénatoriale de le contenir à 4,7%. La pression s’accroit et se déporte désormais sur la commission mixte paritaire qui se tiendra les 19 et 20 décembre.

Le

Laurent Wauquiez : « Il est évident que nous devons défendre François Fillon »
2min

Politique

Déficit à 5,3 % : « Ce n’est pas la conséquence du vote du Sénat », assure Mathieu Darnaud

Le Sénat a adopté, sans surprise, le projet de loi de finances pour 2026 avec187 voix pour et 109 contre. Une trentaine de sénateurs LR et du groupe centriste se sont abstenus. Le vote est toutefois moins large que prévu, peut-être en raison du chiffrage du gouvernement d’un déficit public pour 2026 porté à 5,3 %, contre 4,7 % espéré dans la copie initiale. Le président du groupe LR du Sénat, Mathieu Darnaud rejette toute responsabilité et renvoie la balle aux députés.

Le

Laurent Wauquiez : « Il est évident que nous devons défendre François Fillon »
2min

Politique

Budget : pour le centriste Hervé Marseille, la commission mixte paritaire « ne sera pas facile »

Après son adoption au Sénat avec 187 voix pour, et 109 contre, le projet de loi de finances va pouvoir poursuivre son parcours législatif en commission mixte paritaire vendredi. Pendant deux jours, sept députés et sept sénateurs tenteront de parvenir à un texte de compromis, pour faire atterrir le budget avant le 31 décembre. La tâche s’annonce complexe, même pour les plus optimistes.

Le