En première ligne de la fronde sociale, le secrétaire général de CGT dénonce la réinstauration du jour de carence dans l’indemnisation des arrêts maladie qui doit permettre de remédier au « micro-absentéisme. » Selon lui cette mesure révèle le fait que « le gouvernement et le président de la République ne savent pas ce qu’est le travail. » « Quand on est à bout et bien on est malade et la réponse ne pas être la mise en place d’un jour de carence » considère-t-il.
Philippe Martinez est tout aussi critique pour ce qui concerne la diminution des cotisations censée compenser la hausse de la CSG. « Dire que supprimer les cotisations c’est augmenter le pourvoir d’achat c’est faux » selon Philippe Martinez qui y voit « un alibi pour exonérer les grandes entreprises. »