Par Public Sénat
Temps de lecture :
2 min
Publié le
Mis à jour le
Dans les états-majors des partis politiques, on phosphore pour trouver la liste idéale pour les élections européennes de mai prochain. Selon un député de La République en marche, le parti présidentiel aurait déjà trouvé un invité de marque. « Bernard Guetta sera sur la liste » soutient cet élu macroniste. Mais du côté de la direction du parti, on est beaucoup moins affirmatif. « Ce n’est absolument pas fait. C’est à prendre avec des pincettes » met en garde un dirigeant de LREM.
D’autant que le principal intéressé n’a pas été mis dans la confidence… « Je ne suis pas au courant. J’attends qu’on me le propose. J’imagine qu’ils cherchent à échafauder des hypothèses pour la liste. Ça me paraît normal. Je verrai quand on me le propose, si on me le propose » affirme à publicsenat.fr Bernard Guetta. « Je suis assez militant de l’unité européenne » admet-il, ce n’est « pas illogique ».
Après 27 ans de chroniques à la radio, l’ancien journaliste de France Inter s’est lancé dans un nouveau projet : faire le tour du monde en reportage, avec à la clef une dizaine de livres. « Si on me le propose, ce serait un dilemme » reconnaît Bernard Guetta. Pour l’heure, il termine son premier livre de reportage.
Du côté de la direction de LREM, on rappelle que la désignation des membres de la liste répond à « un processus clair. Il y aura une commission nationale avec une dizaine de membres, investis le 15 novembre » précise-t-on. Elle sera présidée par Jean-Marc Borello. « Que vous soyez connu ou pas, tous les candidats, quels qu’ils soient, doivent passer par une plateforme qui centralise les demandes ».
Si l’hypothèse prenait corps, Bernard Guetta ne serait pas le premier journaliste à tenter l’aventure de la politique. Le président du groupe LREM de l’Assemblée, Gilles Le Gendre, est ainsi un ancien du magazine L’Expansion. Il avait même à l’époque comme collègue un certain… Bernard Guetta.
Politique
La commission des affaires sociales du Sénat a examiné ce 15 novembre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, transmis mercredi. Les rapporteurs veulent faire table rase de nombreuses modifications faites par les députés, qui ont aggravé le déficit de 17,5 à 24 milliards d’euros.
Le
Politique
Cancers : l’Union européenne n’a pas « d’excuse pour ne rien faire »
Un sommet européen sur le Cancer doit se tenir à Bruxelles du 19 au 20 novembre. Il s’agit de la deuxième cause de mortalité sur le Vieux Continent. Chaque année, 2,6 millions de nouveaux cas sont diagnostiqués. Tabac, alcool, pesticides, polluants divers, nos modes de vie et conditions de travail sont en cause. Alors, comment endiguer le fléau du cancer dans l’Union européenne ? Pourquoi sommes-nous aussi touchés ? Ici l’Europe ouvre le débat avec les eurodéputés Laurent Castillo (PPE, France) et Tilly Metz (Verts, Luxembourg). L'UE n'a pas "d'excuse pour ne rien faire", estime cette dernière.
Le
Politique
Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.
Le
Politique
Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.
Le
1945, Royan sous les bombes alliées