Le Maire prône « la reconquête éducative » contre le terrorisme
Bruno Le Maire (C), candidat à la primaire de la droite, le 29 juillet 2016 à Chateaurenard (sud-est de la France) AFP/Archives Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite pour l’élection présidentielle, prône « la reconquête éducative » et « le rétablissement du mérite » pour lutter contre le terrorisme, dans une tribune publiée dans le […]
Bruno Le Maire (C), candidat à la primaire de la droite, le 29 juillet 2016 à Chateaurenard (sud-est de la France)
AFP/Archives
Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite pour l'élection présidentielle, prône "la reconquête éducative" et "le rétablissement du mérite" pour lutter contre le terrorisme, dans une tribune publiée dans le Figaro de samedi.
"Comment reprendre la main ? Par la reconquête éducative, qui tient en trois mots : autorité, transmission et fierté", écrit le député de l'Eure (Les Républicains). "Autorité, pour que le respect dû aux enseignants ne puisse plus être bafoué ni par les élèves ni par les parents", souligne-t-il.
La violence dans les établissements scolaires ou les atteintes au principe de laïcité doivent, selon lui, être "sanctionnées avec fermeté".
"Il est temps de changer de modèle éducatif et de reconnaître le talent de chacun en valorisant les filières professionnelles, les apprentis, la diversité des parcours", poursuit Bruno Le Maire.
La "reconquête" sera, selon lui, "longue et difficile" et passe par "le rétablissement du mérite", contre "un égalitarisme qui, à force de traiter tout le monde de la même façon, ne distingue plus personne".
Comme "première réponse" au terrorisme, l'ancien ministre réclame par ailleurs l'équipement de la police et la gendarmerie en matériels et technologies nécessaires. Réponse judiciaire également : "Nous ne devons plus reculer devant les modifications nécessaires du droit pour prévenir les actes terroristes".
Après le rejet « attendu » du budget par les députés, le premier ministre a pris la parole. Espérant toujours un vote favorable au terme de la procédure, il va de nouveau s’entretenir avec les groupes politiques. Il met les difficultés rencontrées sur le compte de la « stratégie électorale » et du « cynisme » de certains « candidats à la présidentielle ».
Au nom de la liberté de prescription des médecins, les sénateurs ont supprimé, lundi, la limitation à un mois des arrêts de travail, votée à l’Assemblée nationale dans le cadre de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Invité de la matinale de Public Sénat, le rapporteur général de la commission des Finances à l’Assemblée nationale, Philippe Juvin, a appelé à un « compromis sur le texte global » avec les socialistes. Pour se faire, il compte bien mettre la suspension de la réforme des retraites dans la balance même s’il assure que c’est une « erreur ».
Après plusieurs décennies à la télévision, le célèbre animateur de l’émission C’est pas sorcier a conquis les réseaux sociaux et rassemble désormais 4,5 millions de followers tout support confondu. Cette popularité s’explique par un talent singulier : rendre accessible l’inaccessible. Invitée de Rebecca Fitoussi dans Un monde, un regard, il revient sur sa soif d’apprendre et sur un métier unique en son genre.