Le tandem Macron-Philippe, une « chance pour la France » selon Gattaz
Le patron des patrons, Pierre Gattaz, a estimé mardi que le tandem exécutif français Emmanuel Macron/Edouard Philippe marquait un...

Le tandem Macron-Philippe, une « chance pour la France » selon Gattaz

Le patron des patrons, Pierre Gattaz, a estimé mardi que le tandem exécutif français Emmanuel Macron/Edouard Philippe marquait un...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Le patron des patrons, Pierre Gattaz, a estimé mardi que le tandem exécutif français Emmanuel Macron/Edouard Philippe marquait un "souci d'ouverture" et "une chance" de redresser la France par des réformes.

"Il y a une chance pour la France de se redresser et de retrouver de l'espoir. Ensuite, que l'on soit à gauche ou que l'on soit à droite, il faut saisir cette chance", a déclaré le responsable de l'organisation patronale Medef sur CNews.

Une trentaine d'élus LR et UDI ont jugé lundi que leurs familles politiques devaient "répondre à la main tendue" par le nouveau président Emmanuel Macron.

Il est "important que les partis votent les réformes quand elles vont dans le bon sens", "ce n'est plus un problème de gauche et de droite mais d'action", a souligné M. Gattaz.

"Que des hommes et des femmes politiques disent on va jouer ce renouveau (...) ça me paraît tout à fait sain", a-t-il ajouté, estimant que "ce sont les convictions et les valeurs qui comptent".

"Pour l'instant nous sommes sur un nuage, pour l'instant Emmanuel Macron fait un sans faute", a-t-il observé mais "nous serons bienveillants mais vigilants" et le Medef "jugera sur pièce".

Sur la composition du premier gouvernement du nouveau quinquennat, M. Gattaz a fait valoir que "le critère principal c'est que les ministres connaissent l'entreprise".

Partager cet article

Dans la même thématique

Le tandem Macron-Philippe, une « chance pour la France » selon Gattaz
6min

Politique

Budget de la Sécu : le Sénat supprime la hausse de la CSG sur le capital, fruit du compromis avec les députés PS

Comme annoncé, la majorité sénatoriale LR et centriste a supprimé la hausse de la CSG sur le capital votée par les députés, censée rapporter 2,66 milliards d’euros. « Vous défendez le capital, le profit, de manière entêtée », a dénoncé le sénateur PS, Yan Chantrel. La rapporteure, la centriste Elisabeth Doineau, a voulu en rester aux « mesures que la majorité sénatoriale avait défendues en juillet auprès de François Bayrou ».

Le

Le tandem Macron-Philippe, une « chance pour la France » selon Gattaz
4min

Politique

Primes, normes, décentralisation : ce qu’il faut retenir du discours de Sébastien Lecornu devant les maires

En clôture du Congrès de l’Association des maires de France (AMF), le Premier ministre a fait part de sa volonté de simplifier les normes qui pèse sur les élus locaux. Il a confirmé son engagement en faveur d’un grand acte de décentralisation avec le dépôt d’un projet de loi avant Noël mais sans s’engager sur une baisse de l’effort demandé aux collectivités dans le budget, au grand dam des élus.

Le