Le web s’amuse d’une bourde « délicieuse » de Macron en Australie
Emmanuel Macron a provoqué une vague de réactions amusées et moqueuses dans les médias et réseaux sociaux anglophones pour avoir...

Le web s’amuse d’une bourde « délicieuse » de Macron en Australie

Emmanuel Macron a provoqué une vague de réactions amusées et moqueuses dans les médias et réseaux sociaux anglophones pour avoir...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron a provoqué une vague de réactions amusées et moqueuses dans les médias et réseaux sociaux anglophones pour avoir qualifié la femme du Premier ministre australien de "delicious".

A la fin d'une conférence de presse commune à Sydney avec Malcolm Turnbull, le président français se tourne vers son hôte et lui dit en anglais: "Thank you and your delicious wife for your warm welcome".

Le Premier ministre australien reste impassible et souriant, mais la formule a vite fait d'être reprise par des internautes et des médias locaux qui relèvent que l'adjectif "delicious" ne s'emploie en anglais que pour qualifier un plat et non une personne, sauf dans la langue familière pour lui donner une connotation sexuelle.

"Ooh la la!", s'est ainsi exclamé le tabloïd australien Daily Telegraph en se moquant de "la bourde merveilleusement délicieuse de Macron" ("Macron's slip delightfully delicious").

La BBC souligne sur son site que M. Macron, qui s'exprime "habituellement dans un excellent anglais", aurait dû employer le terme "delightful" ou "lovely" pour qualifier Mme Turnbull.

Le chef de l'Etat français poursuit mercredi sa visite en Australie, un pays avec lequel Paris veut construire "un partenariat plus approfondi" dans le cadre d'un "nouvel axe indo-pacifique".

Partager cet article

Dans la même thématique

MANIFESTATION BLOQUONS TOUT
9min

Politique

La taxe Zucman plébiscitée par 86 % des Français : « Il se passe un truc massif et transpartisan dans le pays »

Un sondage Ifop, commandé par le PS, montre que la taxe Zucman sur les ultrariches est soutenue jusque dans les rangs des sympathisants LR, à 89 %, et Renaissance, à 92 %. Une victoire idéologique pour la gauche, plus habituée aux défaites ces dernières années ? « Ce sondage montre que les efforts doivent être mieux répartis », selon Frédéric Dabi de l’Ifop, et reflète surtout « un malaise dans le pays ».

Le