En Martinique, les trois députés sortants en lice se retrouvent en ballotage favorable pour le second tour, à l'issue du premier tour des législatives marqué par une abstention très forte.
Dans la 2ème circonscription, le député sortant (DVG) Bruno Nestor Azérot affrontera au second tour le maire (DVG) du Lorrain Justin Pamphile.
Dans la 3ème, Serge Letchimy (DVG) malgré son score (60,17% des suffrages exprimés) est contraint à un second tour qui l’opposera à un candidat REG Francis Carole (16,58%), en raison d'une participation inférieure aux 25% des inscrits.
Serge Letchimy (DVG) vote à Fort-de-France le 13 décembre 2015.
AFP/Archives
Dans la 4ème circonscription, Jean-Philippe Nilor (REG) sera opposé à la candidate (LR) Sylvia Saithsoothane.
Dans la seule circonscription où le sortant (Alfred Marie-Jeanne) ne se représentait pas, un duel opposera une ancienne présidente de Conseil général Josette Manin (DVG) à un ancien député DVG, Philippe Edmond-Mariette.
Alors que plus de 60 % des Français placent le problème du logement en tête de leurs préoccupations, Dialogue citoyen donne la parole à une habitante des Côtes-d’Armor frappée de plein fouet par la crise du logement.
Au moment où les sénateurs s’apprêtent à terminer l’examen du budget, les esprits sont déjà dans l’étape suivante, la commission mixte paritaire. Malgré de très grosses différences entre les députés et le texte du Sénat, l’idée d’un accord en CMP fait son chemin. Mais avant de voir une fumée blanche, beaucoup de chemin reste à faire. Pour préparer le terrain, les échanges informels ont déjà commencé.
Une proposition de loi visant à assurer le droit de chaque mineur placé à disposer d’un avocat a été adoptée à l’unanimité par les députés hier. Le texte doit maintenant poursuivre sa route au Sénat. « Nous avons une responsabilité, que ces enfants soient les enfants de la République », martèle Xavier Iacovelli.
Si le budget de la sécurité de sociale a été adopté par l’Assemblée nationale mardi, rien ne promet un même sort au projet de loi de finances, pour lequel les voies de compromis sont encore plus minces. En cas de non-accord sur le texte, le gouvernement serait contraint de recourir à une loi spéciale. Une piste qui éveille des inquiétudes quant à l’organisation des municipales, dont l’enveloppe est estimée à 200 millions d’euros.