Législatives : zoom sur vingt personnalités battues dès le premier tour
De nombreux candidats à l’envergure nationale n’ont pas été qualifiés pour le premier tour.

Législatives : zoom sur vingt personnalités battues dès le premier tour

De nombreux candidats à l’envergure nationale n’ont pas été qualifiés pour le premier tour.
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Certains candidats aux législatives ont vu leur qualification au second tour leur échapper de peu, comme le secrétaire général du Front national Nicolas Bay, à qui il ne manquait que 20 voix pour se qualifier. C’est également le cas de Benoît Hamon. Il manquait 165 voix à l’ancien candidat socialiste à la présidentielle pour espérer se maintenir.

D’autres en revanche ont été sèchement battus, parfois distancés par plus de trois candidats. L’abstention élevée (51,29%) a fait remonter le seuil nécessaire pour se qualifier au second tour. En moyenne, avec 48,71% de votants, il fallait donc réunir près de 25,7% de suffrages exprimés pour décrocher un ticket d’entrée pour le second tour. La barre était haute.

La moitié des ministres balayés au premier tour

Au total, ce sont douze anciens ministres du quinquennat de François Hollande (voir notre infographie), qui ont donc été éliminés dès le premier tour : Benoît Hamon, Matthias Fekl, Christophe Sirugue, Cécile Duflot, Aurélie Filippetti, Christian Eckert, Emmanuelle Cosse, Juliette Méadel, François Lamy, Pascale Boistard, mais également Kader Arif et Ségolène Neuville. Ils représentaient la moitié des anciens ministres et secrétaires d’État à s’être présentés aux élections législatives.

Législatives : zoom sur 20 candidats éliminés

Partager cet article

Dans la même thématique

Mericourt: Emmanuel Macron meets with  readers of the Ebra group,
11min

Politique

Face aux fake news, comment l’Elysée a opéré un « virage » dans sa communication

Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.

Le