Les élus locaux ne sont pas des « fainéants » martèle Éric Doligé
À l’approche des élections sénatoriales, le sénateur LR du Loiret, Éric Doligé affirme que les élus locaux sont « furieux » suites aux dernières annonces de l’exécutif. De quoi revoir à la baisse le nombre de sièges gagnables du côté de La République en marche. 

Les élus locaux ne sont pas des « fainéants » martèle Éric Doligé

À l’approche des élections sénatoriales, le sénateur LR du Loiret, Éric Doligé affirme que les élus locaux sont « furieux » suites aux dernières annonces de l’exécutif. De quoi revoir à la baisse le nombre de sièges gagnables du côté de La République en marche. 
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

« On ne peut pas traiter les élus locaux comme on le fait, ce sont des gens sérieux, des gens responsables. Ce ne sont pas des fainéants. Ce sont des personnes qui donnent beaucoup, bénévolement, pour leurs territoires ». Éric Doligé ne digère toujours pas la baisse des dotations aux collectivités locales, la baisse du nombre d’emplois aidés ou encore la réduction du nombre d’élus locaux… Autant de décisions annoncées cet été par le gouvernant. Des annonces que le gouvernement va payer cher, selon le sénateur, lors des prochaines sénatoriales. Il (Emmanuel Macron) n’a pas bien analysé tous les points. La ruralité, les communes, c’est quelque chose d’important au niveau national. Il n’y a pas que Paris. Les élus sont vraiment furieux. Et je pense que ça se verra dans les urnes » a-t-il affirmé. 

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le