Les réactions des politiques sur Twitter à la mort d’Emmanuelli

Les réactions des politiques sur Twitter à la mort d’Emmanuelli

L’ancien ministre et président socialiste de l’Assemblée nationale Henri Emmanuelli est décédé ce matin des suites d’une longue maladie. Il était âgé de 71 ans.
Public Sénat

Par Alice Bardo

Temps de lecture :

4 min

Publié le

Mis à jour le

François Hollande salue ce midi la personnalité et les convictions d'Henri Emmanuelli, décédé quelques heures plus tôt. 

Le candidat socialiste à la présidence de la République Benoît Hamon est, lui, apparu très ému après l'annonce de la mort de celui qu'il considère comme son "âme soeur". Son concurrent Jean-Luc Mélenchon également. Il lui a rendu un dernier hommage sur Twitter.

De nombreux sénateurs socialistes ont eux aussi réagi à la mort de l'ancien président de l'Assemblée nationale. De David Assouline et Marie-Noelle Lienemann, sénateurs de Paris, à Frédérique Espagnac, sénatrice des Pyrénées-Atlantiquse, en passant par Luc Carvounas (Val-de-Marne), Jean-Vincent Placé (Essonne) et Bernard Lalande (Charente-Maritime), tous ont partagé leurs condoléances. 



Des ministres de l'actuel gouvernement se sont exprimés. Parmi eux, le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault, la ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes Laurence Rossignol et le ministre de la Ville Patrick Kanner.

Les secrétaires d'Etat Matthias Fekl, Harlem Désir, Alain Vidalies et Christian Eckert ont twitté leur émotion.


Le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a, lui, fait part de stupéfaction.

Enfin, le commissaire aux affaires européennes Pierre Moscovici regrette la disparition d' "une figure majeure et marquante". 

Henri Emmanuelli s'est éteint quelques jours avant le premier tour de l'élection présidentielle. Il s'était lui-même porté candidat à celle de 1995, mais Lionel Jospin l'avait emporté à la primaire socialiste. 

Dans la même thématique

Les réactions des politiques sur Twitter à la mort d’Emmanuelli
4min

Politique

Retraites : Jérôme Guedj (PS) menace François Bayrou de censure, « si on n’est pas dans les conditions de pouvoir faire bouger l’âge légal »

Alors que le « conclave » des partenaires sociaux sur la réforme des retraites s’ouvre ce vendredi, Jérôme Guedj pose les conditions d’une censure des socialistes à la suite des négociations. Pour le député, la question de l’âge légal reste « la clé de voute » du débat. Si le Premier ministre ne propose pas au Parlement de revenir dessus, il risque la censure.

Le