LR: Calmels annonce qu’elle sera la vice-présidente de Wauquiez s’il est élu
Virginie Calmels, première adjointe au maire de Bordeaux Alain Juppé, a annoncé samedi dans un entretien au quotidien Sud Ouest...

LR: Calmels annonce qu’elle sera la vice-présidente de Wauquiez s’il est élu

Virginie Calmels, première adjointe au maire de Bordeaux Alain Juppé, a annoncé samedi dans un entretien au quotidien Sud Ouest...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Virginie Calmels, première adjointe au maire de Bordeaux Alain Juppé, a annoncé samedi dans un entretien au quotidien Sud Ouest qu'elle sera la vice-présidente de Laurent Wauquiez s'il est élu à la présidence du parti Les Républicains.

Pour la juppéiste, qui a annoncé début septembre son ralliement au président LR de la région Auvergne-Rhône-Alpes, "ce que nous voulons l'un et l'autre, c'est réunir toutes les familles de droite, les libéraux, les gaullistes sociaux et la droite traditionnelle".

"Juppé lui-même a dit qu'il veut rester dans sa famille politique, la droite, et fixé sa ligne rouge : pas d'accord avec le FN. Je partage totalement. Laurent Wauquiez a lui aussi cette ligne en tête", poursuit l'élue bordelaise.

"S'il est élu, je serai donc amenée à travailler à ses côtés comme vice-présidente. Nous allons préciser dans les semaines qui viennent mes missions. Historiquement le vice-président est en charge du projet", ajoute-t-elle.

Laurent Wauquiez est pressenti comme le mieux placé pour remporter l'élection à la présidence de LR, qui aura lieu les 10 et 17 décembre prochains.

Cinq autres candidats se sont également déclarés: les députés Julien Aubert et Daniel Fasquelle, la maire de Taverny (Val-d'Oise) Florence Portelli, Laurence Saillet, membre du bureau politique depuis 2011 et proche de Xavier Bertrand, et Maël de Calan, conseiller départemental juppéiste du Finistère.

Partager cet article

Dans la même thématique

LR: Calmels annonce qu’elle sera la vice-présidente de Wauquiez s’il est élu
7min

Politique

Le Sénat allège l’effort demandé aux collectivités via le Dilico, système d’« infantilisation des élus », dénonce la gauche

Issu d’une idée de la majorité sénatoriale l’an dernier, le Dilico est un « système d’épargne forcée » qui permet de faire contribuer les collectivités à l’effort d’économies. Dénoncé avec force par la gauche et une partie du centre et de la droite, le dispositif a été revu, après des débats parfois tendus, pour ramener la ponction de 2 milliards à 890 millions d’euros.

Le