Macron accepte de participer au débat TV de l’entre-deux-tours face à Le Pen
Emmanuel Macron accepte de participer au débat télévisé de l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle face à Marine Le Pen...

Macron accepte de participer au débat TV de l’entre-deux-tours face à Le Pen

Emmanuel Macron accepte de participer au débat télévisé de l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle face à Marine Le Pen...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron accepte de participer au débat télévisé de l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle face à Marine Le Pen programmé le mercredi 3 mai, a annoncé lundi l'entourage du candidat d'En Marche!

"On sera front à front avec l'adversaire qu'on a désignée tout au long dans cette campagne", a ajouté un proche de M. Macron, affirmant avoir "demandé un débat avec Marine Le Pen en février, qu'elle avait refusé". "Donc maintenant, on va l'avoir", s'est-il réjoui.

Un peu plus tôt lundi, le directeur de campagne de Mme Le Pen, David Rachline, avait indiqué que ce débat "devrait avoir lieu", y voyant l'occasion de "voir de manière extrêmement claire les deux choix de société qui sont proposés par l'une et par l'autre".

TF1 et France 2 avaient annoncé mi-avril que le débat de l'entre-deux tours, organisé par les deux chaînes, serait diffusé le mercredi 3 mai, soit quatre jours avant le second tour, à 21H00.

En 2002, Jacques Chirac avait lui refusé de débattre avec Jean-Marie Le Pen, qualifié au second tour face à lui.

Partager cet article

Dans la même thématique

Macron accepte de participer au débat TV de l’entre-deux-tours face à Le Pen
11min

Politique

Budget : début de l’examen au Sénat, qui se voit en « véritable lanceur d’alerte des dégâts budgétaires »

Après le rejet du texte par les députés, les sénateurs examinent à leur tour le budget 2026, marqué par le contexte d’instabilité politique. La majorité sénatoriale de droite et du centre entend aider les entreprises et les collectivités, tout en diminuant les budgets de plusieurs ministères pour renforcer les économies. Le ministre de l’Economie, Roland Lescure, se dit « persuadé qu’un compromis » reste encore « possible », malgré les antagonismes.

Le