Macron aux Américains: « Notre combat pour la liberté nous unit plus que jamais »
Le président Emmanuel Macron a exprimé mardi soir sur Twitter sa solidarité avec les Etats-Unis en assurant que "notre combat...

Macron aux Américains: « Notre combat pour la liberté nous unit plus que jamais »

Le président Emmanuel Macron a exprimé mardi soir sur Twitter sa solidarité avec les Etats-Unis en assurant que "notre combat...
Public Sénat

Temps de lecture :

3 min

Publié le

Mis à jour le

Le président Emmanuel Macron a exprimé mardi soir sur Twitter sa solidarité avec les Etats-Unis en assurant que "notre combat pour la liberté nous unit plus que jamais".

"J'exprime l'émotion et la solidarité de la France à New York et aux Etats-Unis", a déclaré le chef de l'Etat, après qu'un "acte terroriste", selon les autorités, a fait huit morts et au moins 11 blessés à New York.

"I convey my emotion and the solidarity of France for New York City and the US. Our fight for freedom unites us more than ever. ", a également tweeté en anglais le président français.

"Soutien indéfectible au peuple américain & aux New-Yorkais. Mes toutes premières pensées vont aux victimes lâchement attaquées à ", a réagi pour sa part le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, tandis que le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, actuellement aux Etats-Unis, a déclaré: "De New-York où je suis, solidarité avec . Pensées pour les victimes et leurs proches".

En France, de nombreuses autres réactions ont aussi été postées sur Twitter: "De nouveau l’horreur. Toutes mes pensées pour les victimes et leurs familles ", a lancé le président du groupe "Constructifs" à l'Assemblée nationale, Franck Riester. "Solidarité avec les New-Yorkais après l'attaque terroriste qui a fait 8 morts à . Pensées pour les victimes et leurs proches", a renchéri le secrétaire général du parti Les Républicains, Bernard Accoyer.

"J'adresse tout mon soutien aux New-Yorkais et à mon ami après cet attentat. Nous sommes à vos côtés. ", a assuré la maire PS de Paris Anne Hidalgo.

"Après Londres, Paris, Barcelone, Melbourne, Hambourg, Marseille, Mogadiscio, cet attentat sur le sol new-yorkais nous rappelle que le lutte contre le terrorisme n'est pas terminée et qu'elle appelle toujours plus de coordination internationale", a réagi le Parti socialiste tandis que Marc Fesneau, patron du groupe MoDem à l'Assemblée nationale, a lancé: " en pensée avec les New-Yorkais une nouvelle fois frappés par le terrorisme. Mal mondial, réponse mondiale".

"Solidarité avec le peuple américain victime une fois encore du terrorisme", a ajouté Florian Philippot (Les Patriotes). "Au peuple américain mes pensées et ma compassion face à la lâcheté terroriste...encore!", a réagi le député Front national Sébastien Chenu.

Le chauffeur d'une camionnette a fauché des cyclistes et passants mardi dans le sud de Manhattan, faisant huit morts et au moins 11 blessés le jour d'Halloween,"un acte de terrorisme", selon les autorités.

C'est la première fois depuis le 11 septembre 2001 qu'un attentat fait des morts à New York.

Plusieurs médias, dont le New York Post et le Daily News, ont indiqué que le chauffeur avait crié "Allah Akhbar" en sortant de son véhicule, mais aucun responsable n'a confirmé dans l'immédiat cette information.

Les faits se sont déroulés juste après 15h00 locales (19H00 GMT) sur la grande artère ensoleillée de Houston Street, où se pressaient beaucoup de passants avant la fête d'Halloween.

Sans attendre la confirmation de la police et du FBI, le président américain Donald Trump a évoqué l'organisation Etat islamique (EI).

"Nous ne devons pas permettre à l'EI de revenir ou entrer dans notre pays après les avoirs vaincus au Moyen-Orient et ailleurs. Assez!", a tweeté M. Trump.

Partager cet article

Dans la même thématique

Macron aux Américains: « Notre combat pour la liberté nous unit plus que jamais »
6min

Politique

« Nous allons entrer en résistance » : PS, PCF et Ecologistes unis au Sénat « face à une droite réactionnaire » sur le budget de la Sécu

Alors que la majorité sénatoriale de droite entend revenir sur les gains obtenus par la gauche à l’Assemblée sur le budget de la Sécurité sociale, à commencer par la suspension de la réforme des retraites, les sénateurs de gauche combattront « pied à pied », en dépit de leurs divergences sur la suspension. Mais face aux amendements des sénateurs de droite, qualifiés de « musée des horreurs », ils jouent groupés.

Le

Macron aux Américains: « Notre combat pour la liberté nous unit plus que jamais »
6min

Politique

Budget 2026 : Wauquiez et Retailleau affichent leur « ligne commune » et appellent Lecornu à prendre ses responsabilités

Alors que le Sénat s’apprête à démarrer l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité Sociale, le patron des députés de droite, Laurent Wauquiez était reçu à la réunion de groupe des sénateurs LR pour passer le relais. L’occasion de s’exprimer d’une seule voix sur la position que compte défendre la droite sur les deux lois de finances, quitte à rendre un accord en commission mixte paritaire quasi impossible et faire resurgir la piste d’un recours au 49.3.

Le

Lyon : Global Cannabis March
3min

Politique

Budget de la Sécu : les sénateurs écologistes veulent créer une taxe sur le cannabis

Dans le cadre de l’examen du budget de la Sécu, les sénateurs écologistes veulent créer un droit d’accise sur la vente du produit stupéfiant. « Ça légalise le cannabis en réalité », explique le sénateur Thomas Dossus. De quoi rapporter près de « 3 milliards d’euros à l’Etat » et « assécher les réseaux ».

Le

« La copie n’est pas acceptable aujourd’hui » : le Sénat s’apprête à modifier en profondeur le budget 2026 de la Sécurité sociale
7min

Politique

« La copie n’est pas acceptable aujourd’hui » : le Sénat s’apprête à modifier en profondeur le budget 2026 de la Sécurité sociale

À la veille du coup d’envoi des débats en séance publique sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, les rapporteurs de la majorité sénatoriale veulent se montrer intraitables sur le retour des principales mesures d’économies et la disparition des mesures les plus coûteuses, comme la suspension de la réforme des retraites.

Le