"Ne changez pas!", a exhorté lundi le président français Emmanuel Macron en s'adressant au palais présidentiel de l'Elysée aux Bleus, estimant que cette équipe de France de football, sacrée championne du monde, "est belle parce qu'elle a été unie".
Dans un discours très court, le président a de nouveau dit "merci" aux joueurs et à leur encadrement, rassemblés dans le jardin de l'Elysée avec quelque 3.000 personnes dont de nombreux jeunes.
"Merci d'avoir apporté cette coupe, merci de nous avoir rendus fiers, merci d'avoir mouillé le maillot, merci d'avoir été unis", a-t-il dit.
Mais, a-t-il ajouté, "n'oubliez jamais d'où vous venez". Et de désigner les responsables des "clubs qui vous ont formés" et "les parents qui n'ont pas compté leur temps". "C'est ça la France!", a-t-il conclu.
Parmi les invités, figuraient notamment les jeunes joueurs et les encadrants des clubs formateurs des Bleus, comme ceux de Bondy, celui de Kylian Mbappé, ou de Frojes (Isère), celui d'Olivier Giroud.
Emmanuel Macron et Didier Deschamps lors de la réception des Bleus champions du monde à l'Elysée, le 16 juillet 2018
AFP
Après Emmanuel Macron, quelque Bleus, très joyeux, ont pris le micro. "On est parti sur le terrain et on a tout cassé!", a lancé Paul Pogba pour résumer l'épopée russe. "J'espère qu'on vous a fait vibrer", a-t-il ajouté.
Le capitaine Hugo Lloris a tendu la coupe à des jeunes pour qu'ils la touchent.
Deux heures après être arrivés de Russie, les Bleus avaient été accueillis dans la cour d'honneur de l'Elysée par Emmanuel Macron et son épouse Brigitte.
Ils ont posé ensemble sur le perron de l'Elysée face aux caméras, avant de chanter à tue-tête et a capella l'air de "I will survive", puis une Marseillaise, qu'ils ont ensuite de nouveau entonnée côté jardin avec les invités.
Depuis les premières frappes israéliennes sur les sites nucléaires iraniens, la France a reconnu le droit d’Israël à se défendre. Dans un contexte de dégradation des relations diplomatiques entre Emmanuel Macron et Benyamin Netanyahou, la France n’a, toutefois pas encore, participer aux opérations de défense de l’Etat hébreu.
Invité de la matinale de Public Sénat, le député (LFI) et président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale a réagi à la déclaration de Jérôme Guedj sur Jean-Luc Mélenchon lors du Congrès du PS, le traitant de « salopard antisémite ». Éric Coquerel et la France insoumise demandent au Parti socialiste de « prendre ses distances » avec cette déclaration.
Lors de ses vœux, le Président a annoncé son souhait de voir les Français « trancher » sur « des sujets déterminants », ce qui laisse supposer que le chef de l'État envisage un retour au référendum. Néanmoins, les sujets sur lesquels les Français souhaitent trancher sont nombreux, pouvoir d'achat, fin de vie… Le référendum recolle-t-il vraiment les Français à la politique ? Invités de l’émission spéciale Dissolution, un an après, Brice Teinturier, Anne Levade, Laure Salvaing et David Djaïz tentent d'y répondre.
Le 81e congrès du PS, à Nancy, qui a vu Olivier Faure être réélu, a été marqué par la division des socialistes sur le rapport à LFI, au point d’éclipser les questions de fond. Le parti sort divisé. Mais il doit maintenant aborder les municipales et préparer son projet pour 2027.