Macron en tête suivi par Le Pen, Mélenchon talonne Fillon
Emmanuel Macron arriverait en tête (24%) au premier tour de l'élection présidentielle, devant Marine Le Pen (21,5%), suivie de...

Macron en tête suivi par Le Pen, Mélenchon talonne Fillon

Emmanuel Macron arriverait en tête (24%) au premier tour de l'élection présidentielle, devant Marine Le Pen (21,5%), suivie de...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Emmanuel Macron arriverait en tête (24%) au premier tour de l'élection présidentielle, devant Marine Le Pen (21,5%), suivie de François Fillon (20%) et Jean-Luc Mélenchon (19,5%) au coude à coude, selon un sondage Elabe diffusé dans la nuit de jeudi à vendredi.

D'après cette enquête pour L'Express et BFMTV, réalisée avant la fusillade sur les Champs-Elysées jeudi soir, le candidat d'En Marche! est stable par rapport à une précédente enquête il y a 3 jours.

Marine Le Pen perd 1,5 point, Jean-Luc Mélenchon en gagne autant, tandis que François Fillon grappille 0,5 point. En cinquième position, Benoît Hamon (PS), avec 7% des intentions de vote (-1 point), enregistre son plus mauvais score.

Le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan est stable à 4%, devant Philippe Poutou à 1,5% (-0,5 point), Jean Lassalle (1%, +0,5) et François Asselineau (1%, +0,5). Nathalie Arthaud est créditée de 0,5% des intentions de vote (stable), et Jacques Cheminade de moins de 0,5%.

5% des personnes interrogées n'ont pas exprimé d'intentions de vote au 1er tour.

Au second tour, Emmanuel Macron l'emporterait très nettement avec 65% (+3 points) des voix, face à Marine Le Pen, 35%. Mais 20% des personnes interrogées n'ont pas exprimé d'intentions de vote.

Le potentiel de participation s'établit à 71% (soit une progression de trois points en trois jours) des personnes interrogées qui se disent "tout à fait certaines d'aller voter" au 1er tour.

Plus des trois quarts des électeurs (77%, +4) se disent désormais sûrs de leur choix. C'est le cas de 89% (=) de ceux de Marine Le Pen, de 82% (+6) de ceux de François Fillon, de 74% (+2) de ceux d'Emmanuel Macron. Chez les électeurs de Jean-Luc Mélenchon, le taux est de 76% (+2), et chez Benoît Hamon ce taux bondit de 15 points à 68%.

Enquête réalisée en ligne les 19 et 20 avril auprès de 1.445 personnes inscrites sur les listes électorales, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,2 à 2,8 points.

Les intentions de vote ne constituent pas une prévision de résultat, elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.

Dans la même thématique

Macron en tête suivi par Le Pen, Mélenchon talonne Fillon
3min

Politique

« Les politiques parlent des migrants comme si c’étaient tous des sauvages » s’insurge Louis Chedid

C’est un nom, une voix, des textes et des mélodies qui nous accompagnent depuis 50 ans. S’il chante l’amour, l’absence, et la mélancolie, parfois aux côtés de ses enfants, il reste d’abord un homme engagé contre les discours de haine. Auteur d' « Anne, ma sœur, Anne », ce descendant d’immigrés chrétiens libanais, réfugiés en Egypte, refuse que les populations immigrées soient caricaturées et instrumentalisées. Cette semaine, Louis Chedid est l’invité de Rebecca Fitoussi dans Un monde, un regard.

Le

Macron en tête suivi par Le Pen, Mélenchon talonne Fillon
3min

Politique

Un an après la dissolution : « Les Français ont le sentiment que la France fait la planche » selon le politologue Brice Teinturier

Un an après la dissolution voulue par Emmanuel Macron, le paysage politique français semble avoir évolué vers un blocage institutionnel. A l’Assemblée, l’absence de majorité empêche les textes d’être votés. Pire, des motions permettent d’enjamber l’examen à l’Assemblée pour que le débat soit tranché en commission mixte paritaire. Comment la dissolution a-t-elle modifié le fonctionnement des institutions ? C’est la question à laquelle répondent les invités de Rebecca Fitoussi et Jean-Pierre Gratien dans cette émission spéciale sur la dissolution, un an après.

Le

Macron en tête suivi par Le Pen, Mélenchon talonne Fillon
4min

Politique

Un an après la dissolution, Gérard Larcher estime que « c'est la présidentielle qui redonnera le nouveau souffle dont nous avons besoin »

Invité de Public Sénat ce vendredi 6 juin, le président du Sénat est longuement revenu sur la situation du pays. À ses yeux, seule la prochaine présidentielle permettra de mettre fin au blocage politique lié à la dissolution. Evoquant également l’urgence budgétaire, il estime que « l’année blanche est une piste sérieuse ».

Le