Macron et le président allemand dimanche à Strasbourg pour lancer les célébrations 14-18
Emmanuel Macron retrouvera dimanche à Strasbourg son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier pour un concert qui lancera les...

Macron et le président allemand dimanche à Strasbourg pour lancer les célébrations 14-18

Emmanuel Macron retrouvera dimanche à Strasbourg son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier pour un concert qui lancera les...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Emmanuel Macron retrouvera dimanche à Strasbourg son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier pour un concert qui lancera les célébrations du centenaire de la fin de la Première guerre mondiale, a annoncé mercredi l'Elysée.

Strasbourg sera la première étape de "l'itinérance mémorielle" que suivra le chef de l'Etat pendant toute la semaine sur les grands lieux de la Grande Guerre dans les régions du Grand Est et des Hauts de France.

Après une cérémonie militaire, MM. Macron, accompagné de son épouse Brigitte, et Steinmeier assisteront dimanche dans la soirée dans la cathédrale Notre-Dame à un concert d'oeuvres de Debussy et Beethoven sur "le thème de la paix européenne et du retour de l'Alsace-Moselle à la France", a précisé l'Elysée.

Il sera interprété par 80 musiciens de l'orchestre symphonique de l'Académie supérieure de Strasbourg.

Le lendemain, Emmanuel Macron se rendra sur le site de la bataille de Morhange (Moselle), première étape des grands lieux militaires qu'il visitera jusqu'au 10 novembre. Il se rendra notamment à Verdun, à la nécropole de Notre-Dame-de-Lorette (Pas-de-Calais) et à Albert, où il retrouvera la Première ministre Theresa May pour commémorer la bataille de la Somme le 9 novembre.

Auparavant, le chef de l'Etat aura rendu hommage le 6 novembre à Reims (Marne) avec le président malien Ibrahim Boubacar Keita "aux héros de la 'Force noire', ces unités sacrifiées pour la défense de la ville de Reims en 1918, et en particulier au 1er corps de l'armée coloniale", selon l'Elysée.

Le long périple se terminera le 10 novembre par une cérémonie avec la chancelière allemande Angela Merkel dans la clairière de Rethondes, à Compiègne (Oise), où a été signé l'armistice.

Le lendemain, une centaine de dirigeants étrangers sont attendus à la traditionnelle cérémonie de l'armistice à l'Arc de Triomphe. Les présidents américain Donald Trump et russe Vladimir Poutine devraient être présents.

Une partie de ces dirigeants participeront ensuite à un Forum de la Paix, organisé à La Villette, pour "échanger sur la paix durable et la prévention des conflits", selon la présidence.

Partager cet article

Dans la même thématique

Macron et le président allemand dimanche à Strasbourg pour lancer les célébrations 14-18
3min

Politique

Budget : Amélie de Montchalin assume le dialogue avec le PS plutôt qu’avec le RN au nom des « valeurs gaullistes »

A 48 heures de la réunion de la commission mixte paritaire sur le projet de loi de finances, le ton est monté d’un cran entre le gouvernement et la droite sénatoriale qui refuse d’endosser la responsabilité d’un niveau de déficit, porté à 5,3 %. Aux questions d’actualité au gouvernement du Sénat, Amélie de Montchalin indique que le gouvernement a choisi « en conscience de travailler avec le Parti socialiste ».

Le

Macron et le président allemand dimanche à Strasbourg pour lancer les célébrations 14-18
3min

Politique

Dermatose des bovins : Sébastien Lecornu appelle au soutien des vétérinaires menacés

Lors des questions d’actualité au gouvernement du Sénat, le Premier ministre Sébastien Lecornu a longuement détaillé la stratégie de l’exécutif pour lutter contre la crise de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) et a appelé au soutien des vétérinaires menacés, car en charge des « dépeuplements » des bovins affectés.

Le

Macron et le président allemand dimanche à Strasbourg pour lancer les célébrations 14-18
4min

Politique

Budget 2026 : « Les choses vont être difficiles », reconnaît Sébastien Lecornu, face à des sénateurs LR en colère

Le président du groupe LR au Sénat a fait part de la colère de ses troupes lors des questions au gouvernement, après que le ministre de l’Économie a pointé du doigt la responsabilité du Sénat dans la dégradation du projet de loi de finances. Le Premier ministre a indiqué que ses ministres faciliteraient les compromis, à deux jours de la commission mixte paritaire.

Le