Macron lundi dans un collège en Mayenne pour la rentrée scolaire
Emmanuel Macron se déplacera lundi matin en Mayenne dans un collège doté d'un internat et d'une classe pour élèves handicapés,...

Macron lundi dans un collège en Mayenne pour la rentrée scolaire

Emmanuel Macron se déplacera lundi matin en Mayenne dans un collège doté d'un internat et d'une classe pour élèves handicapés,...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron se déplacera lundi matin en Mayenne dans un collège doté d'un internat et d'une classe pour élèves handicapés, pour marquer le premier jour de la rentrée scolaire, a indiqué vendredi l'Elysée.

Le président assistera à la rentrée d'une classe de 6e du collège Jules Renard, à Laval, en compagnie du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer et de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées Sophie Cluzel.

Ce collège a été choisi car il possède un internat, qui ouvre cette année, et une classe Ulis (Unités localisées pour l'inclusion scolaire) qui accueille des élèves atteints de troubles des fonctions cognitives ou mentales.

Dans la classe de 6e, Emmanuel Macron assistera à une rentrée "en musique", une initiative lancée l'an dernier pour promouvoir les chorales et orchestres dans les établissements scolaires.

Le président visitera ensuite l'internat de "la réussite" ouvert dans un nouveau bâtiment du collège. Il sera accompagné par Jean-Yves Gouttebel, le président PRG du conseil départemental du Puy-de-Dôme, qui a été chargé d'un rapport pour rendre plus attractif l'internat, notamment en milieu rural.

La rentrée des classes concerne cette année quelque 12,4 millions d'élèves et 881.400 enseignants répartis dans les 62.250 écoles et établissements scolaires du public et du privé.

L'an dernier, Emmanuel Macron s'était rendu dans une école primaire de Forbach (Moselle) pour la première rentrée scolaire de son quinquennat, où il avait mis en valeur la division par deux des effectifs dans les classes de CP des quartiers les plus défavorisés.

Partager cet article

Dans la même thématique

13-UNIS : la course en hommage aux 10 ans des attentats de novembre 2015
5min

Politique

Commémoration du 13 novembre : 10 ans après les attentats, la menace terroriste « s’accroît »

Alors que la France rend hommage aux victimes des attentats de Paris de 2015, le ministre de l’Intérieur a appelé les préfets à « renforcer les mesures de vigilance ». Le procureur national antiterroriste (Pnat) Olivier Christen, indique même que la menace terroriste, jihadiste, d’ultradroite ou émanant d’Etats étrangers « s’accroît ».

Le

France Paris Shooting
4min

Politique

Attentats du 13 novembre 2015 : dix ans après, comment les lois antiterroristes ont évolué ?

Dix ans après le traumatisme des attentats du 13 novembre 2015, le cadre juridique permettant la prévention et la répression d’actes terroristes a largement évolué. Après les attaques du Bataclan, des terrasses parisiennes et du Stade de France ayant fait 131 morts et plus de 400 blessés, la France avait basculé dans l’état d’urgence, un régime juridique d’exception qui a influencé les évolutions législatives.

Le

Macron lundi dans un collège en Mayenne pour la rentrée scolaire
4min

Politique

Immigration : Laurent Nunez a « bon espoir que le plan 3 000 places de centres de rétention administrative aboutisse en 2029 »

A l’approche de l’examen du budget, le ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez était auditionné par commission des lois du Sénat a présenté des crédits en hausse pour la mission sécurité et immigration de son ministère. Il en a profité pour confirmer que l’objectif 3 000 places en des centres de rétention administrative, initialement prévu pour 2027, ne sera pas tenu, comme l’avait révélé un rapport du Sénat.

Le

5min

Politique

Budget : des sénateurs souhaitent assouplir le droit des successions pour favoriser les dons aux associations

Les sénateurs Bernard Jomier et Grégory Blanc (Place Publique) ont déposé un amendement au projet de loi de finances 2026, visant à élargir la liberté des légataires dans la transmission de leur patrimoine, pour favoriser les donations aux causes d’intérêt général. De quoi permettre un débat « le plus large possible » selon les élus, dans une séquence budgétaire intense.

Le