Macron prononcera un discours sur la sécurité intérieure le 18 octobre
Emmanuel Macron recevra les représentants des forces de sécurité le 18 octobre à l'Elysée et prononcera à cette occasion un...

Macron prononcera un discours sur la sécurité intérieure le 18 octobre

Emmanuel Macron recevra les représentants des forces de sécurité le 18 octobre à l'Elysée et prononcera à cette occasion un...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Emmanuel Macron recevra les représentants des forces de sécurité le 18 octobre à l'Elysée et prononcera à cette occasion un discours sur la sécurité en France, a affirmé jeudi l'Elysée à l'AFP.

Ce discours, a-t-on indiqué en marge d'une visite du chef de l'État à Lyon, visera notamment à préciser les contours de la police de la sécurité du quotidien que souhaite mettre en place l'exécutif, promesse de campagne du candidat Macron.

Le conseiller de l'Elysée sur la sécurité devait recevoir dans la matinée les représentants des syndicats de police qui le désiraient pour préparer cette réunion du 18 octobre.

M. Macron a annulé un discours prévu à la mi-journée à Lyon sur cette question de la sécurité afin de se rendre plus tôt à Tallinn pour une rencontre bilatérale avec la chancelière allemande Angela Merkel.

Alors que le syndicat policier Alliance avait annoncé qu'il "boycotterait" ce discours prévu de M. Macron, le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a dit "penser que les choses vont se régler rapidement. Le budget de la police a augmenté de 1,9%", a souligné ce proche du chef de l'Etat.

Rencontrant jeudi matin les forces de l'ordre sur les berges du Rhône, Emmanuel Macron a par ailleurs confirmé aux militaires déployés dans le cadre de l'opération Sentinelle que celle-ci sera "réadaptée" le 4 octobre et sera "recalibrée d'ici la fin de l'année".

Partager cet article

Dans la même thématique

Macron prononcera un discours sur la sécurité intérieure le 18 octobre
7min

Politique

Le Sénat allège l’effort demandé aux collectivités via le Dilico, système d’« infantilisation des élus », dénonce la gauche

Issu d’une idée de la majorité sénatoriale l’an dernier, le Dilico est un « système d’épargne forcée » qui permet de faire contribuer les collectivités à l’effort d’économies. Dénoncé avec force par la gauche et une partie du centre et de la droite, le dispositif a été revu, après des débats parfois tendus, pour ramener la ponction de 2 milliards à 890 millions d’euros.

Le