Macron propose de renforcer l’Europe de la défense
Le président français Emmanuel Macron a proposé mardi de renforcer l'Europe de la défense et de la sécurité en créant une "force...

Macron propose de renforcer l’Europe de la défense

Le président français Emmanuel Macron a proposé mardi de renforcer l'Europe de la défense et de la sécurité en créant une "force...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Le président français Emmanuel Macron a proposé mardi de renforcer l'Europe de la défense et de la sécurité en créant une "force commune d'intervention" européenne, un budget de défense commun et une "doctrine commune" pour agir.

Il demande aussi la création d'une Académie européenne du renseignement, d'un parquet européen contre le terrorisme et d'une force commune de protection civile contre les catastrophes naturelles, ainsi que d'un Office européen de l'asile et d'une police européenne des frontières.

Partager cet article

Dans la même thématique

Macron propose de renforcer l’Europe de la défense
4min

Politique

Armement : Kaja Kallas appelle la France à « augmenter les cadences de production »

C’est la voix de la diplomatie européenne. Au moment où le cessez le feu connait des ratés à Gaza, et où la guerre s’enlise en Ukraine, quelle place pour les Européens ? Comment peser sur les grands conflits en cours ? Guerre en Ukraine, cessez-le-feu à Gaza, ou encore traité de libre-échange avec les pays du Mercosur, la Haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité Kaja Kallas défend son action et répond sans détour aux questions de Caroline de Camaret et d’Armen Georgian dans Ici l’Europe.

Le

Macron propose de renforcer l’Europe de la défense
5min

Politique

Sarkozy à la Santé : la visite de Darmanin « peut être interprétée comme une forme de pression » sur les magistrats, note François Molins

Un collectif d’avocats a déposé plainte contre Gérald Darmanin pour son soutien apporté à Nicolas Sarkozy incarcéré pour association de malfaiteurs dans l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007. Interrogé sur ce point l’ancien procureur général près la Cour de cassation, François Molins considère, lui aussi, que le déplacement du garde des Sceaux à la prison de la Santé pour y rencontrer l’ancien chef d’Etat « peut être interprété comme une forme de pression » sur les magistrats.

Le