Maël de Calan « a sans doute de l’avenir au conseil départemental du Finistère » tacle Guillaume Larrivé
Maël de Calan « est un élu local qui sans doute a de l’avenir au conseil départemental du Finistère ou au conseil municipal de Roscoff mais il s’agit de diriger notre formation politique. »

Maël de Calan « a sans doute de l’avenir au conseil départemental du Finistère » tacle Guillaume Larrivé

Maël de Calan « est un élu local qui sans doute a de l’avenir au conseil départemental du Finistère ou au conseil municipal de Roscoff mais il s’agit de diriger notre formation politique. »
Public Sénat

Par Helena Berkaoui

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

« Il faut qu’une nouvelle génération autour de Laurent Wauquiez dirige Les Républicains » estime Guillaume Larrivé. « Depuis le mois de juillet il y a une direction très provisoire » observe-t-il. Selon lui, le moment de flottement qui a succédé à la présidentielle et aux législatives est responsable du feuilleton autour de l’exclusion des Constructifs et des membres LR du gouvernement. « Cette histoire de Constructifs aurait dû être réglée dès le mois le juillet » juge-t-il. Guillaume Larrivé considère qu’« Édouard Philippe est un homme respectable, il est le Premier ministre, il est le chef de la majorité mais il ne peut pas être dans le premier parti d’opposition, c’est aussi simple que cela. »

Maël de Calan « est un élu local qui sans doute a de l’avenir au conseil départemental du Finistère ou au conseil municipal de Roscoff mais il s’agit de diriger notre formation politique. »

Concernant les élections internes des Républicains, Guillaume Larrivé affiche clairement son soutien à Laurent Wauquiez. Hier, la Haute autorité chargée du contrôle de ces élections internes a validé la candidature de trois candidats : Maël de Calan, Florence Portelli et Laurent Wauquiez. Interrogé sur la considération qu’il a pour le juppéiste, Maël de Calan, Guillaume Larrivé relativise son rôle. Sans nier son possible avenir politique « au conseil départemental du Finistère ou au conseil municipal de Roscoff » il rappelle qu’il « s’agit de diriger notre formation politique et moi je suis allié avec Laurent Wauquiez. » Et d’ajouter qu’il « crois que comme conseiller municipal d’une petite ville en Bretagne et comme conseiller départemental  il fait un bon travail local s’il avait gagné une circonscription à l’Assemblée nationale je serais ravi de travailler avec lui mais malheureusement je n’ai pas la chance de le rencontrer souvent. »

Dans la même thématique

Maël de Calan « a sans doute de l’avenir au conseil départemental du Finistère » tacle Guillaume Larrivé
3min

Politique

« Les politiques parlent des migrants comme si c’étaient tous des sauvages » s’insurge Louis Chedid

C’est un nom, une voix, des textes et des mélodies qui nous accompagnent depuis 50 ans. S’il chante l’amour, l’absence, et la mélancolie, parfois aux côtés de ses enfants, il reste d’abord un homme engagé contre les discours de haine. Auteur d' « Anne, ma sœur, Anne », ce descendant d’immigrés chrétiens libanais, réfugiés en Egypte, refuse que les populations immigrées soient caricaturées et instrumentalisées. Cette semaine, Louis Chedid est l’invité de Rebecca Fitoussi dans Un monde, un regard.

Le

Maël de Calan « a sans doute de l’avenir au conseil départemental du Finistère » tacle Guillaume Larrivé
3min

Politique

Un an après la dissolution : « Les Français ont le sentiment que la France fait la planche » selon le politologue Brice Teinturier

Un an après la dissolution voulue par Emmanuel Macron, le paysage politique français semble avoir évolué vers un blocage institutionnel. A l’Assemblée, l’absence de majorité empêche les textes d’être votés. Pire, des motions permettent d’enjamber l’examen à l’Assemblée pour que le débat soit tranché en commission mixte paritaire. Comment la dissolution a-t-elle modifié le fonctionnement des institutions ? C’est la question à laquelle répondent les invités de Rebecca Fitoussi et Jean-Pierre Gratien dans cette émission spéciale sur la dissolution, un an après.

Le

Maël de Calan « a sans doute de l’avenir au conseil départemental du Finistère » tacle Guillaume Larrivé
4min

Politique

Un an après la dissolution, Gérard Larcher estime que « c'est la présidentielle qui redonnera le nouveau souffle dont nous avons besoin »

Invité de Public Sénat ce vendredi 6 juin, le président du Sénat est longuement revenu sur la situation du pays. À ses yeux, seule la prochaine présidentielle permettra de mettre fin au blocage politique lié à la dissolution. Evoquant également l’urgence budgétaire, il estime que « l’année blanche est une piste sérieuse ».

Le