« Ça me choque. Cette violence n’a pas sa place dans la République », a réagi le Premier ministre au Sénat sur notre antenne, après la gifle reçue par Manuel Valls lors d'un déplacement en Bretagne.
« La République c’est fait de respect mutuel. La République, c’est fait de tolérance. La République, c’est aussi une forme de fraternité, y compris entre ceux qui peuvent s’opposer politiquement. Et la violence est à prohiber absolument », a déclaré le Premier ministre, en marge de la cérémonie des vœux de Gérard Larcher au Sénat.
« Je tiens à exprimer à Manuel Valls, qui est un homme qui a des convictions et qui du courage, toute mon affection et mon amitié », a ajouté le chef du gouvernement.