Manuel Valls giflé : « Cette violence n’a pas sa place dans la République », réagit Bernard Cazeneuve
Le Premier ministre a réagi sur Public Sénat à la gifle dont a été victime Manuel Valls cet après-midi. Il lui témoigne « toute son affection et son amitié ».

Manuel Valls giflé : « Cette violence n’a pas sa place dans la République », réagit Bernard Cazeneuve

Le Premier ministre a réagi sur Public Sénat à la gifle dont a été victime Manuel Valls cet après-midi. Il lui témoigne « toute son affection et son amitié ».
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

« Ça me choque. Cette violence n’a pas sa place dans la République », a réagi le Premier ministre au Sénat sur notre antenne, après la gifle reçue par Manuel Valls lors d'un déplacement en Bretagne.

« La République c’est fait de respect mutuel. La République, c’est fait de tolérance. La République, c’est aussi une forme de fraternité, y compris entre ceux qui peuvent s’opposer politiquement. Et la violence est à prohiber absolument », a déclaré le Premier ministre, en marge de la cérémonie des vœux de Gérard Larcher au Sénat.

« Je tiens à exprimer à Manuel Valls, qui est un homme qui a des convictions et qui du courage, toute mon affection et mon amitié », a ajouté le chef du gouvernement.

Partager cet article

Dans la même thématique

MANIFESTATION BLOQUONS TOUT
9min

Politique

La taxe Zucman plébiscitée par 86 % des Français : « Il se passe un truc massif et transpartisan dans le pays »

Un sondage Ifop, commandé par le PS, montre que la taxe Zucman sur les ultrariches est soutenue jusque dans les rangs des sympathisants LR, à 89 %, et Renaissance, à 92 %. Une victoire idéologique pour la gauche, plus habituée aux défaites ces dernières années ? « Ce sondage montre que les efforts doivent être mieux répartis », selon Frédéric Dabi de l’Ifop, et reflète surtout « un malaise dans le pays ».

Le

SIPA_01215443_000022
8min

Politique

Nouveau gouvernement : Les Républicains tiraillés entre « rupture » et maintien au pouvoir

Dans l’expectative en attendant la fin des consultations de Sébastien Lecornu, Les Républicains voudraient prolonger leur bail au gouvernement et ont posé leurs conditions. Des conditions pour la plupart antinomiques avec celles des socialistes actuellement au centre de l’attention du Premier ministre. De quoi apporter de l’eau au moulin de Laurent Wauquiez qui entend toujours être l’incarnation de la « rupture » avec le pouvoir macroniste.

Le