Marine Le Pen: le départ de Philippot enlève « une épine dans le pied » du FN
La présidente du Front National Marine Le Pen a estimé vendredi que le départ de Florian Philippot, qui a annoncé la création du...

Marine Le Pen: le départ de Philippot enlève « une épine dans le pied » du FN

La présidente du Front National Marine Le Pen a estimé vendredi que le départ de Florian Philippot, qui a annoncé la création du...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

La présidente du Front National Marine Le Pen a estimé vendredi que le départ de Florian Philippot, qui a annoncé la création du parti politique "Les Patriotes", enlevait "une épine dans le pied" du parti.

"Quand on se dit héritier de De Gaulle, il faut le faire avec hauteur. Il n’était pas obligé de jouer les victimes et de cracher dans la soupe en diffamant le parti. Mais tout ce qui est excessif est dérisoire", a dit Marine Le Pen à la Voix du Nord, en marge d'une session du Conseil régional des Hauts-de-France à Lille.

Selon Mme Le Pen, ce départ équivaut au "retrait d’une épine dans le pied".

"Florian Philippot avait en partie anéanti la camaraderie qui règne au FN, il avait réussi à se mettre tout le monde à dos. Je l’ai soutenu longtemps, il a choisi une aventure personnelle. Que sont Les Patriotes ? Un club de potes. Or, un parti ce n’est pas un club d’amis. Son espace politique est inexistant", a-t-elle encore affirmé.

Florian Philippot, ancien vice-président du FN, a annoncé vendredi la transformation de son association "Les Patriotes" en une formation politique.

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le