Marine Le Pen, candidate défaite au second tour de la présidentielle, a "retrouvé" lundi "la présidence du Front national" à la place de Steeve Briois, a annoncé celui-ci lundi dans un tweet, deux semaines après sa "mise en congé" entre les deux tours.
"Fier de la confiance que Marine Le Pen m'a accordée. Elle retrouve aujourd'hui la présidence du FN ! Cap sur les législatives" de juin, a écrit l'eurodéputé et maire d'Hénin-Beaumont.
Marine Le Pen, qui maintient le suspense sur sa candidature aux législatives dans cette 11e circonscription du Pas-de-Calais, avait fait l'annonce de sa mise en congé au lendemain de sa qualification au second tour.
"Il m'est apparu indispensable de me mettre en congé de la présidence du FN. Ce soir, je ne suis plus la présidente du FN, je suis la candidate à la présidentielle, celle qui souhaite rassembler autour du projet d'espoir, de prospérité, de sécurité, l'ensemble des Français", avait poursuivi l'eurodéputée.
Marine Le Pen et Steeve Briois, maire d'Hénin-Beaumont et secrétaire général par intérim du FN, lors du second tour de la présidentielle, le 7 mai 2017
AFP/Archives
Elle avait d'abord été remplacée par le premier vice-président du FN, Jean-François Jalkh.
Cet historique du FN, adhérent depuis 1974 au parti fondé en 1972, renvoyé en procès dans les affaires de financement du FN, a été pendant l'entre-deux-tours accusé de propos négationnistes qu'il a démentis.
Il a dès lors été remplacé par M. Briois, vice-président du parti.
Interrogés par l'AFP, les responsables FN n'ont pas rendu publiques les modalités statutaires de ces évolutions.
Le trésorier du FN Wallerand de Saint-Just avait déclaré que "juridiquement, c'(était) tout à fait possible", car "statutairement, on considère que le premier vice-président est empêché, donc c'est le vice-président suivant".
"Mais on ne fait pas trop de +juridisme+, là", avait-il ajouté.
C’est l'un des Belges les plus connus de la scène humoristique francophone. Passé par France Inter, il officie désormais à RTL. Comment un humoriste est-il passé d’un public à l’autre ? Comment faire indifféremment rire un public de droite et de gauche ? Cette semaine, Alex Vizorek est l’invité de Rebecca Fitoussi dans l’émission Un monde, un regard.
« Un discours ferme et rassembleur ». Pour la députée centriste du groupe Renew, Fabienne Keller, les propos tenus par Ursula von der Leyen sont « absolument essentiels en ce moment historique où nous sommes en tension maximum avec Vladimir Poutine ». La présidente de l’exécutif européen a en effet annoncé une esquisse de nouvelles sanctions contre la Russie. Dans ce contexte, l’eurodéputée française estime que « la défense que l’on n’a pas voulue dans les années 50, s’impose à nous » désormais. « C’est un peu tard mais elle commence à réagir » Concernant le conflit israélo-palestinien, l’eurodéputé espagnol Javier Moreno Sanchez espère que qu’Ursula von der Leyen ira plus loin dans la condamnation des actes commis par l’Etat hébreu. « Ce que nous lui demandons, c’est qu’elle agisse avec la même fermeté dans les deux guerres qu’on a à nos portes ». A la surprise générale, la présidente de la Commission a annoncé vouloir suspendre une partie de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël, mais pour le social-démocrate, c’est l’ensemble de ce texte qui doit remis en cause. Mais pour l’eurodéputé espagnol, l’urgence est de ne pas revenir sur les grands textes des précédentes mandatures de la Commission. Qu’il s’agisse du pacte migratoire ou des mesures écologiques, « il ne faut pas qu’Ursula von der Leyen démonte les propositions qu’elle a faites (…) on ne savait pas que la droite traditionnelle pro-européenne allait jouer avec l’extrême droite ». « Ce n’est pas une Europe sociale, mais une Europe militariste » Le groupe des Conservateurs et réformistes est nettement plus critique vis-à-vis du grand oral de la présidente de la commission. L’élu roumain Gheorghe Piperea souhaite la démission de la commissaire allemande. En juillet, il faisait déjà partie de ceux qui avait voté une motion de censure à l’encontre de cette dernière. Pour cet eurodéputé conservateur l’Union européenne nourrirait le conflit ukrainien en multipliant ses aides, notamment militaires. Ce député a par ailleurs dénoncé l’accord commercial conclu « sur un terrain de golf en Ecosse » entre Ursula von der Leyen et Donald Trump, le qualifiant « d’échec ». Retrouver l’intégralité de l’émission en intégralité ici
« Je saisis par courrier le premier ministre pour qu’une action au sommet de l’Etat soit engagée dans les plus brefs délais auprès des instances européennes », annonce à publicsenat.fr le président de la délégation aux entreprises du Sénat, le sénateur LR Olivier Rietmann, alors qu’un salarié malade pendant ses vacances pourra reporter ses congés, selon une décision de la Cour de cassation.
Tout juste nommé à Matignon et entre deux mouvements sociaux, Sébastien Lecornu a entamé des consultations avec les syndicats. Mais la marge de manœuvre de ce proche du chef de l’Etat s’annonce plus que réduite.