Municipales: Jean-Marie Le Pen appelle les forces « nationales » de droite à « l’unité »
L'ancien président du Front national (devenu Rassemblement national) Jean-Marie Le Pen a appelé jeudi les "forces nationales" de ...

Municipales: Jean-Marie Le Pen appelle les forces « nationales » de droite à « l’unité »

L'ancien président du Front national (devenu Rassemblement national) Jean-Marie Le Pen a appelé jeudi les "forces nationales" de ...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

L'ancien président du Front national (devenu Rassemblement national) Jean-Marie Le Pen a appelé jeudi les "forces nationales" de "droite" à s'unir pour les élections municipales de mars.

"Je voudrais lancer un appel le plus solennel possible aux forces nationales, aux forces de droite qui sont souvent éparpillées dans des groupements ou des groupuscules différents, de pratiquer la politique de non agression. On ne doit pas présenter une liste nationale contre une autre liste nationale", a déclaré dans la vidéo de son "journal de bord" hebdomadaire le cofondateur du FN, exclu du parti en 2015 après des propos polémiques sur la Shoah.

"Il faut se parler, c'est le moment où jamais. Car ce qui les sépare ce sont souvent que des nuances ou des ambitions. Mais cela doit être banni avec une grande fermeté. Il faut absolument faire l'unité des nationaux, l'unité de liste", a ajouté M. Le Pen, qui avait été accusé de négliger ce scrutin et l'implantation locale de son parti.

Sa fille Marine Le Pen, présidente du RN, a ouvert pour ces élections les listes à des candidats extérieurs au parti, dans le but de consolider son ancrage local en vue de la présidentielle.

Partager cet article

Dans la même thématique

Municipales: Jean-Marie Le Pen appelle les forces « nationales » de droite à « l’unité »
2min

Politique

« Accepter de perdre nos enfants » : « Nous devons écouter » le chef d’état-major des Armées, soutient Gérard Larcher

Au congrès des maires de France, le président du Sénat, Gérard Larcher a apporté son soutien au général Fabien Mandon. Mercredi devant les élus, le chef d’état-major des Armées a suscité la polémique en considérant que la France allait devoir « accepter de perdre ses enfants » dans la perspective d’un conflit prochain avec la Russie.

Le

Municipales: Jean-Marie Le Pen appelle les forces « nationales » de droite à « l’unité »
4min

Politique

VIDEO. Risque de guerre avec la Russie : la France doit « accepter de perdre ses enfants », prévient le chef d’état-major des Armées, Fabien Mandon

Devant le congrès des maires, le chef d’état-major des Armées, Fabien Mandon, a affirmé qu’en cas de guerre avec la Russie, on devait « accepter de nous faire mal pour protéger ce que l’on est ». Autrement dit, accepter la mort de soldats et la nécessité « de souffrir économiquement parce que les priorités iront à de la production défense ». Dans cette optique, il estime que les maires ont « un rôle majeur » pour relayer le message.

Le