Nathalie Loiseau nommée ministre chargée des Affaires européennes
Nathalie Loiseau, directrice de l'ENA, a été nommée ministre chargée des Affaires européennes à la place de Marielle de Sarnez, a...

Nathalie Loiseau nommée ministre chargée des Affaires européennes

Nathalie Loiseau, directrice de l'ENA, a été nommée ministre chargée des Affaires européennes à la place de Marielle de Sarnez, a...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Nathalie Loiseau, directrice de l'ENA, a été nommée ministre chargée des Affaires européennes à la place de Marielle de Sarnez, a annoncé mercredi Alexis Kohler, secrétaire général de l'Elysée.

Nathalie Loiseau, directrice de l'Ecole nationale d'administration (ENA) depuis 2012, remplace à ce poste de ministre auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian la vice-présidente du MoDem Marielle de Sarnez, qui a renoncé mercredi matin à participer au nouveau gouvernement pour prendre la présidence du groupe parlementaire MoDem à l'Assemblée nationale.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris: Gerard Larcher elu President du Senat
3min

Politique

Échec de la CMP sur le budget : Gérard Larcher dénonce le « manque de considération » de Sébastien Lecornu à l’égard du Sénat

Le gouvernement et la majorité sénatoriale se renvoient la responsabilité de l’échec de la commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi de finances 2026. Gérard Larcher répond à Sébastien Lecornu en défendant la position du Sénat pendant l’examen du budget et en dénonçant « le manque de considération » et « les mots excessifs » du Premier ministre.

Le

Paris: Questions au gouvernement Senat
8min

Politique

Budget : les sénateurs LR et le gouvernement Lecornu se renvoient la responsabilité de l’échec

Face à l’incapacité des députés et sénateurs à trouver un accord en commission mixte paritaire, le gouvernement fait porter l’échec sur le dos de la droite sénatoriale. Le PS lui emboîte le pas et dénonce le « dogmatisme » de LR. « Pitoyable », rétorque-t-on à droite, où on accuse le gouvernement d’avoir voulu provoquer « l’échec de la CMP ».

Le