Nicole Belloubet « ne ferme pas la porte » à une révision de l’ordonnance de 1945
Au micro de Sénat 360, Nicole Belloubet, la garde des Sceaux, indique qu’elle ne « ferme pas la porte » à  une révision de l’ordonnance de 1945.

Nicole Belloubet « ne ferme pas la porte » à une révision de l’ordonnance de 1945

Au micro de Sénat 360, Nicole Belloubet, la garde des Sceaux, indique qu’elle ne « ferme pas la porte » à  une révision de l’ordonnance de 1945.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Interrogée sur la proposition à droite, de revoir l’ordonnance de 1945 concernant les mineurs, après la découverte d’une vidéo montrant une enseignante braquée avec une arme factice, par un élève, la garde des Sceaux, Nicole Belloubet, répond qu’elle ne « ferme pas la porte » à cette proposition : « Il me semble qu’il ne serait pas inintéressant d’avoir un débat sur ce texte parce qu’il manque de cohérence et sans doute pourrions-nous avantageusement le réinterroger. »

Partager cet article

Dans la même thématique

Mericourt: Emmanuel Macron meets with  readers of the Ebra group,
11min

Politique

Face aux fake news, comment l’Elysée a opéré un « virage » dans sa communication

Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.

Le

Paris: Ouverture Shein magasin BHV
6min

Politique

Municipales 2026 : la gauche parisienne en quête d’union

À quatre mois des municipales, socialistes et écologistes s’enlisent dans des négociations aussi intenses que fragiles. Alors que Rachida Dati domine les sondages et impose un sentiment d’urgence, PS, PCF et EELV tentent d’arracher un accord de premier tour sans perdre la face. La gauche parisienne avance à pas comptés vers une union qui semble à la fois indispensable et désormais à portée de main.

Le