Nicole Belloubet « ne ferme pas la porte » à une révision de l’ordonnance de 1945
Au micro de Sénat 360, Nicole Belloubet, la garde des Sceaux, indique qu’elle ne « ferme pas la porte » à  une révision de l’ordonnance de 1945.

Nicole Belloubet « ne ferme pas la porte » à une révision de l’ordonnance de 1945

Au micro de Sénat 360, Nicole Belloubet, la garde des Sceaux, indique qu’elle ne « ferme pas la porte » à  une révision de l’ordonnance de 1945.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Interrogée sur la proposition à droite, de revoir l’ordonnance de 1945 concernant les mineurs, après la découverte d’une vidéo montrant une enseignante braquée avec une arme factice, par un élève, la garde des Sceaux, Nicole Belloubet, répond qu’elle ne « ferme pas la porte » à cette proposition : « Il me semble qu’il ne serait pas inintéressant d’avoir un débat sur ce texte parce qu’il manque de cohérence et sans doute pourrions-nous avantageusement le réinterroger. »

Partager cet article

Dans la même thématique

Orleans: TARANIS 2025 transport aerien militaire de haute intensite
6min

Politique

« Accepter de perdre nos enfants » : « S’il faut employer de tels propos pour que chacun prenne conscience de la situation, le chef d’état-major a raison », selon Cédric Perrin

En appelant à « accepter de perdre nos enfants » en cas de guerre avec la Russie, le chef d’état-major des armées, Fabien Mandon, crée la polémique. Si ses propos sont « peut-être un peu maladroits », selon le président LR de la commission des affaires étrangères et de la défense du Sénat, Cédric Perrin, il les juge nécessaires face au « risque de confrontation majeure à l’est de l’Europe ».

Le

Nicole Belloubet « ne ferme pas la porte » à une révision de l’ordonnance de 1945
2min

Politique

« Accepter de perdre nos enfants » : « Nous devons écouter » le chef d’état-major des armées, soutient Gérard Larcher

Au congrès des maires de France, le président du Sénat, Gérard Larcher a apporté son soutien au général Fabien Mandon. Mercredi devant les élus, le chef d’état-major des Armées a suscité la polémique en considérant que la France allait devoir « accepter de perdre ses enfants » dans la perspective d’un conflit prochain avec la Russie.

Le