Alain Juppé, maire de Bordeaux, a de nouveau exclu d'être un recours des Républicains à l'élection présidentielle en cas de forfait de François Fillon: "Clairement et définitivement, c'est non", a-t-il déclaré lundi matin à des journalistes à Bordeaux.
Interrogé sur des rumeurs quant à la possibilité qu'il revienne sur sa décision de ne pas suppléer François Fillon, empêtré dans l'affaire des présumés emplois fictifs de son épouse et de ses enfants, Alain Juppé a déclaré: "J'ai un peu de mal à comprendre d'où viennent ces rumeurs. J'ai dit quelle était ma position: clairement et définitivement, c'est non. Et vous me connaissez, non c'est non!"
Alain Juppé et François Fillon le 25 janvier 2017 à Bordeaux
AFP/Archives
Interrogé à son arrivée lundi matin à la mairie de Bordeaux, le rival malheureux de François Fillon à la primaire de la droite a ajouté: "Aujourd'hui, on va écouter François Fillon". Ce dernier devrait s'expliquer longuement dans un média lundi sur le "Penelopegate", d'après son entourage.
Au cours des deux dernières semaines, Alain Juppé avait déjà exclu à deux reprises d'être "le recours".
Le Sénat a adopté en deuxième lecture l’article de proposition de loi de programmation énergétique entérinant la relance du nucléaire. L’objectif de construction de six puis huit EPR2 est ainsi inscrit dans la version adoptée par le Sénat, tout comme la composition « majoritairement » nucléaire du mix électrique français à horizon 2050.
La mort brutale d’Olivier Marleix, ancien président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, a plongé le monde politique sous le choc. Ce mardi 8 juillet, de nombreux hommages lui ont été rendus au Parlement. Au Sénat, la réunion de groupe des Républicains s’est ouverte dans une atmosphère de recueillement.
Les groupes du socle commun du Sénat contribuent à la réflexion, en mettant sur la table quelques « pistes » d’économies pour un total de 25 milliards d’euros, dont une année blanche, même si le principe fait débat. Pour le centriste Hervé Marseille, il faut « toucher les grandes fortunes, car il faut des signaux », notamment envers le PS, qui veut plus de « justice fiscale ».
Pas de jaloux. Après la tribune de Bruno Retailleau, qui appelle à arrêter les subventions à l’éolien, la majorité sénatoriale LR et centriste va défendre un amendement visant à évaluer « l’impact financier de toutes les formes de production d’énergie », explique le corapporteur centriste Patrick Chauvet, qui ne veut pas « stigmatiser » les énergies renouvelables. L’objectif global de la PPL Gremillet reste cependant bien la relance du nucléaire.
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1er mai : le Sénat autorise les boulangers et les fleuristes à ouvrir
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