Nouvelle agression dans le lycée de Créteil : « Il n’y a aucun laxisme » déclare Jean-Michel Blanquer
Invité de l’émission Territoire d’Infos sur Public Sénat et les Indés Radios, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, est revenu sur une nouvelle agression d’un prof au lycée Branly de Créteil, un mois après celle d’une enseignante.

Nouvelle agression dans le lycée de Créteil : « Il n’y a aucun laxisme » déclare Jean-Michel Blanquer

Invité de l’émission Territoire d’Infos sur Public Sénat et les Indés Radios, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, est revenu sur une nouvelle agression d’un prof au lycée Branly de Créteil, un mois après celle d’une enseignante.
Public Sénat

Par Yann Quercia

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Nouvelle agression au lycée Edouard-Branly de Créteil. Un mois après qu’une professeure a été braquée par un élève avec une arme factice, suscitant une vive émotion dans le milieu enseignant, un élève est en garde à vue ce mercredi matin après une plainte déposée par l’un de ses professeurs. « C’est évidemment inacceptable » réagit le ministre de l’éducation. Il ajoute : « Comme à chaque fois qu’il y a un fait de violence contre un professeur. C’est aussi l’illustration du fait que nous ne laissons rien passer, puisqu’à partir du moment où ça a eu lieu, nous réagissons immédiatement. On a tout de suite porté plainte et il y aura un conseil de discipline pour l’élève. »

Jean Michel Blanquer veut faire passer un message : « Il n’y a aucun laxisme. » Il explique à nouveau la mise en place du plan sécurité dans les écoles : « C’est un élément de réussite du futur plan que nous avons mis en place pour la sécurité dans les établissements. Il y a toute une série de mesures que j’ai annoncées il y a 15 jours et qui se mettent en place : simplification des conseils de discipline, période probatoire pour les élèves qui reviennent dans les établissements après une exclusion. Ces problèmes  prennent racine dans des problèmes de société qui sont souvent en dehors de l’école. »

Il conclut en soulignant que le « Le nombre de faits n’augmente pas depuis l’événement de Créteil (…) Nous sommes en train de diminuer le phénomène. »

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