Paris: le premier adjoint Emmanuel Grégoire « a envie » de devenir maire
Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire de Paris Anne Hidalgo, confie dans un article de M le magazine du Monde publié...

Paris: le premier adjoint Emmanuel Grégoire « a envie » de devenir maire

Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire de Paris Anne Hidalgo, confie dans un article de M le magazine du Monde publié...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire de Paris Anne Hidalgo, confie dans un article de M le magazine du Monde publié vendredi avoir "envie" de briguer l'Hôtel de Ville après un possible deuxième mandat de l'édile socialiste.

"C'est désormais une perspective que je ne m'interdis pas d'envisager", poursuit le responsable de la campagne d'Anne Hidalgo pour sa réélection, lui-même tête de liste dans le 12e arrondissement.

"C'est Anne elle-même qui m'a invité à y penser, on est dans la transmission", explique-t-il, alors que l'article se fait l'écho de rumeurs qui le verraient occuper la mairie à la faveur d'une candidature de Mme Hidalgo à l'Elysée en 2022, ou bien si elle abandonnait son mandat après les Jeux Olympiques de Paris en 2024.

Emmanuel Grégoire peut se targuer du soutien de l'ancien maire de Paris, Bertrand Delanoë, qui le qualifie dans les colonnes du M de "type intelligent, vif, fidèle, gentil". M. Delanoë voit aussi chez lui quelqu'un "d'ambitieux, mais ce n'est pas un défaut".

Emmanuel Grégoire avait été élu premier adjoint à la mairie de Paris en septembre 2018, après la démission fracassante de Bruno Julliard.

Partager cet article

Dans la même thématique

Lecornu ok
8min

Politique

« Ça passe ou ça casse ! » : semaine cruciale pour Sébastien Lecornu qui joue gros

Le premier ministre joue peut-être son avenir cette semaine. Après avoir de nouveau déjeuné avec les cadres du socle commun, il sera confronté jeudi à une nouvelle mobilisation puis recevra des socialistes très déçus après son interview. « Au moment où je vous parle, on est plutôt sur la dynamique de la censure », prévient Patrick Kanner, patron des sénateurs socialistes. Mais le PS ne ferme pas encore la porte.

Le

SIPA_01198257_000003
7min

Politique

Condamnation de Nicolas Sarkozy : la liberté syndicale des magistrats une nouvelle fois ciblée

Après celle de Marine Le Pen, la condamnation de Nicolas Sarkozy conduit une nouvelle fois certains responsables politiques à mettre en cause l’impartialité de la justice. Le Syndicat de la magistrature est, de nouveau, dans le viseur de l’extrême droite qui demande sa suppression. Cette suspicion à l’encontre de juges avait donné lieu au vote d’une disposition au Sénat en 2023 pour imposer le respect du principe d’impartialité pour les magistrats syndiqués.

Le