Parvis Nicolas Sarkozy à Nice : « C’est un geste de reconnaissance », affirme Christian Estrosi
Invité de la matinale de Public Sénat, le maire de Nice, Christian Estrosi a expliqué son choix de donner le nom de Nicolas Sarkozy au parvis de l’Hôtel des polices de Nice. Un choix polémique, quelques jours après la condamnation de l’ancien président de la République.
Les réactions à la condamnation de Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison continuent de tomber. Lundi 29 septembre, Christian Estrosi, maire de Nice et proche de Nicolas Sarkozy, a annoncé vouloir donner le nom de Nicolas Sarkozy au parvis du futur Hôtel des polices.
« J’ai le plus grand respect pour la magistrature, mais le respect n’interdit ni l’esprit critique, ni la lucidité. C’est un geste de reconnaissance », affirme le maire de Nice pour justifier son choix qui rappelle avoir donné les noms de trois anciens présidents de la République à différents lieux publics de la métropole niçoise.
Après les menaces contre le président du tribunal judiciaire de Paris suite à la condamnation de Nicolas Sarkozy, Christian Estrosi a assuré qu’il ne voulait « pas rabaisser tout cela à un débat entre magistrats et politiques ».
La commission des affaires sociales du Sénat a examiné ce 15 novembre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, transmis mercredi. Les rapporteurs veulent faire table rase de nombreuses modifications faites par les députés, qui ont aggravé le déficit de 17,5 à 24 milliards d’euros.
Un sommet européen sur le Cancer doit se tenir à Bruxelles du 19 au 20 novembre. Il s’agit de la deuxième cause de mortalité sur le Vieux Continent. Chaque année, 2,6 millions de nouveaux cas sont diagnostiqués. Tabac, alcool, pesticides, polluants divers, nos modes de vie et conditions de travail sont en cause. Alors, comment endiguer le fléau du cancer dans l’Union européenne ? Pourquoi sommes-nous aussi touchés ? Ici l’Europe ouvre le débat avec les eurodéputés Laurent Castillo (PPE, France) et Tilly Metz (Verts, Luxembourg). L'UE n'a pas "d'excuse pour ne rien faire", estime cette dernière.
Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.
Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.