Philippe: « Nous ne ralentirons pas, nous ne lâcherons rien » sur les réformes
"Nous ne ralentirons pas, nous ne lâcherons rien, nous irons jusqu'au bout de notre projet", a défendu le Premier ministre...

Philippe: « Nous ne ralentirons pas, nous ne lâcherons rien » sur les réformes

"Nous ne ralentirons pas, nous ne lâcherons rien, nous irons jusqu'au bout de notre projet", a défendu le Premier ministre...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

"Nous ne ralentirons pas, nous ne lâcherons rien, nous irons jusqu'au bout de notre projet", a défendu le Premier ministre Édouard Philippe mardi à l'Assemblée nationale, où deux motions de censure de son gouvernement sont débattues.

"S'il s’agit aujourd'hui de motions de censure contre tout cela, je vous avoue que je ne crains pas le jugement de notre Assemblée, pas plus que je ne crains le jugement des Français", a poursuivi le chef du gouvernement.

Partager cet article

Dans la même thématique

Philippe: « Nous ne ralentirons pas, nous ne lâcherons rien » sur les réformes
4min

Politique

Armement : Kaja Kallas appelle la France à « augmenter les cadences de production »

C’est la voix de la diplomatie européenne. Au moment où le cessez le feu connait des ratés à Gaza, et où la guerre s’enlise en Ukraine, quelle place pour les Européens ? Comment peser sur les grands conflits en cours ? Guerre en Ukraine, cessez-le-feu à Gaza, ou encore traité de libre-échange avec les pays du Mercosur, la Haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité Kaja Kallas défend son action et répond sans détour aux questions de Caroline de Camaret et d’Armen Georgian dans Ici l’Europe.

Le

Philippe: « Nous ne ralentirons pas, nous ne lâcherons rien » sur les réformes
5min

Politique

Sarkozy à la Santé : la visite de Darmanin « peut être interprétée comme une forme de pression » sur les magistrats, note François Molins

Un collectif d’avocats a déposé plainte contre Gérald Darmanin pour son soutien apporté à Nicolas Sarkozy incarcéré pour association de malfaiteurs dans l’affaire du financement libyen de sa campagne de 2007. Interrogé sur ce point l’ancien procureur général près la Cour de cassation, François Molins considère, lui aussi, que le déplacement du garde des Sceaux à la prison de la Santé pour y rencontrer l’ancien chef d’Etat « peut être interprété comme une forme de pression » sur les magistrats.

Le