Par Noémie Metton
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Plan social chez Airbus : « On profite de la situation très ponctuelle pour "dégraisser" et j'espère que l'État aura plus que son mot à dire pour dire "non". Un plan social d'une telle importance c'est une saignée énorme. C'est scandaleux » « Les pouvoirs publics doivent intervenir pour empêcher ce qui constitue manifestement pour l'ensemble du monde salarié une provocation, quelque part la remise en cause de notre modèle social »
Audition d'Agnès Buzyn : « Elle est responsable de ce qui s'est passé. Je ne dis pas qu'elle porte la responsabilité de la disparition de milliers de nos concitoyens dans la crise de la Covid 19. Néanmoins, on ne peut pas dire "je ne savais pas » « On a détruit des masques, on ne les a pas remplacés, il y a donc une faute qu'il faut reconnaître. Pourquoi ne pas le dire ? »
Commission d'enquête du gouvernement sur la gestion de la crise : « Le gouvernement ne peut pas être juge et partie. On ne s'auto-évalue pas quand il y a un pouvoir de contrôle qui existe au Parlement »
Création d'une 5e branche de la sécurité sociale pour l'autonomie : « Les Français sont capables d'entendre que pour se protéger du risque de la dépendance, ils peuvent dire je suis capable d'y contribuer au travers de mes cotisations salariales et patronales » « On votera "pour" parce que ça inscrit dans le marbre le principe mais je pense que le gouvernement ne mettra pas les moyens nécessaires »
Trou de la sécu : « C'est à l'État de prendre en charge, c'est à l'État d'aller chercher des recettes supplémentaires y compris sur ceux et celles qui ont le plus profité du quinquennat de M. Macron, les 1% qui ont le plus de revenus »
Sébastien Lecornu veut se lancer aux sénatoriales dans l'Eure : « Ça me pose problème. Dans le gouvernement il y a pas mal d'exceptions à la règle : quand on est ministre on se consacre pleinement à sa mission de ministre » « Il y a une "opération Mangouste Lecornu" qui est lancée. Je viens au Sénat et je prendrai le Sénat peut-être en 2023 dans le cadre de grandes alliances. Il risque d'avoir quelques désillusions »
Politique
François Bayrou Premier ministre : Marine Le Pen « ne renonce pas » à la motion de censure
La présidente des députés RN attend de voir comment se construit le futur budget avant de se positionner vis-à-vis du prochain gouvernement de François Bayrou. Assurant de pas avoir pris d’engagement, elle « ne renonce pas » à l’outil de la motion de censure.
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Politique
Après l’annonce de la nomination de François Bayrou à Matignon, les sénateurs LR du Sénat sont dans l’expectative. La participation de la droite au prochain gouvernement, dépendra de l’engagement du Premier ministre sur les priorités qu’il a fixé notamment sur la maîtrise de l’immigration et bien sûr du maintien en poste du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau.
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Politique
François Bayrou à Matignon : « Il ne semble pas disposé à être un Premier ministre collaborateur »
Emmanuel Macron vient de nommer François Bayrou Premier ministre. Le président du MoDem devient ainsi le premier centriste de la Vème République à accéder à Matignon, il doit désormais composer son gouvernement et se protéger du risque de censure. Allié fidèle mais critique d’Emmanuel Macron, il devra réussir à parler aussi bien aux socialistes qu’à la droite. Analyse sur le plateau de Public Sénat.
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Politique
Après la nomination du président du Modem comme premier ministre, le PS ne ferme pas la porte à des compromis, tout en dénonçant un choix qui ne respecte pas le résultat des législatives. LFI brandit en revanche la menace d’une censure, confirmant les divergences des derniers jours. Entre les deux, les écologistes n’excluent plus non plus la censure, sauf si François Bayrou opère un changement de cap.
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Philippe Geluck, le père du Chat