Pouvoir d’achat et baisse du chômage en tête des attentes pour 2018
L'amélioration du pouvoir d'achat et la baisse du chômage figurent en tête des attentes des Français à l'égard de l'exécutif pour...

Pouvoir d’achat et baisse du chômage en tête des attentes pour 2018

L'amélioration du pouvoir d'achat et la baisse du chômage figurent en tête des attentes des Français à l'égard de l'exécutif pour...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

L'amélioration du pouvoir d'achat et la baisse du chômage figurent en tête des attentes des Français à l'égard de l'exécutif pour 2018, selon un sondage Kantar Sofres-OnePoint pour LCI, Le Figaro et RTL publié lundi.

Les personnes interrogées sur ce qu'elles attendent principalement de l'action du gouvernement et d'Emmanuel Macron pour 2018 citent d'abord "l'amélioration du pouvoir d'achat des Français" (51%), la baisse du chômage (43%), la diminution des impôts et des charges (40%).

Viennent ensuite la lutte contre le terrorisme (34%), le redressement de l'économie française (32%) et la maîtrise des problèmes de l'immigration (31%), devant la réduction des inégalités sociales et de l'exclusion (27%).

Sur le bilan de l'action d'Emmanuel Macron depuis son élection, les résultats sont partagés avec 37% qui le jugent négatif (dont 18% très négatif) et 35% positif (dont 5% très positif), les autres estimant qu'il est trop tôt pour juger (21%) ou étant sans opinion (7%).

Une majorité des personnes interrogées (55%) estime que l'action menée jusqu'à maintenant par le gouvernement correspond aux engagements pris par Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle. Ils sont 31% à faire état de l'opinion inverse, dont 22% qui jugent que l'action menée ne correspond "plutôt pas" aux engagement pris et 9% "pas du tout".

La politique menée par le chef de l'Etat est qualifiée de "plutôt à droite" par 39%, "plutôt au centre" par 27% et "plutôt à gauche" par 7% des personnes interrogées, les autres étant sans opinion.

Sondage réalisé en ligne les 11 et 12 janvier, auprès d'un échantillon représentatif de 1.000 personnes, selon la méthode des quotas.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris : session of questions to the government at the Senate
9min

Politique

Face à un « budget cryptosocialiste », la majorité sénatoriale veut « éradiquer tous les impôts » votés par les députés

Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.

Le

Marseille: Amine Kessaci candidate
4min

Politique

Assassinat du frère d’Amine Kessaci : le militant écologiste engagé contre le narcotrafic était « sous protection policière et exfiltré de Marseille depuis un mois »

Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.

Le

Pouvoir d’achat et baisse du chômage en tête des attentes pour 2018
2min

Politique

Assassinat du petit frère d’Amine Kessaci : revoir le documentaire sur le combat contre le narcotrafic du militant marseillais 

Mehdi, le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. En 2020, c’est l’assassinat de son grand frère Brahim, qui avait conduit le jeune garçon à s’engager en politique. Son parcours est le sujet du documentaire « Marseille, des larmes au combat », Anaïs Merad, à revoir sur Public Sénat.

Le

Pouvoir d’achat et baisse du chômage en tête des attentes pour 2018
3min

Politique

Projet de loi anti-fraudes : « C’est un objet politique qui vise essentiellement à montrer du doigt la fraude sociale »

Invités sur le plateau de Parlement Hebdo, le sénateur Bernard Jomier (Place Publique) et le député Sylvain Berrios (Horizons) sont revenus sur le projet de loi pour lutter contre les fraudes fiscales et sociales, examiné par la Chambre haute depuis mercredi. La majorité rassemblant les élus de la droite et du centre au Sénat ont affermi le texte en commission, y ajoutant une batterie de mesures qui ne fait pas consensus.

Le