Près de deux Français sur trois ont une opinion négative de Macron
Près de deux Français sur trois (64%) jugent qu'Emmanuel Macron est un "mauvais président", selon un sondage Odoxa à l'occasion...

Près de deux Français sur trois ont une opinion négative de Macron

Près de deux Français sur trois (64%) jugent qu'Emmanuel Macron est un "mauvais président", selon un sondage Odoxa à l'occasion...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Près de deux Français sur trois (64%) jugent qu'Emmanuel Macron est un "mauvais président", selon un sondage Odoxa à l'occasion des "1.000 jours" de son entrée en fonction, publié jeudi.

Un tiers des personnes interrogées (32%) le considère même comme "un très mauvais président". Inversement, il est perçu par 36% comme un "bon" chef de l'Etat.

Ceux qui ont une mauvaise opinion de lui le considèrent à 62% (-7 par rapport à une enquête de juillet 2019) mauvais en raison "de ses actions et de la politique qu'il a menée". Et pour 37% (+7) à cause "de son attitude, son ton et sa communication", selon cette enquête avec Dentsu Consulting, Le Figaro et France Info.

La communication du chef de l'Etat est jugée particulièrement sévèrement: 69% la trouvent mauvaise, pour 31% qui la jugent bonne.

A propos de l'actualité récente, 73% des Français interrogés jugent "assez grave" le rejet par les députés LREM d'un amendement permettant de donner 12 jours de congés aux parents ayant perdu un enfant, contre 17% pour lesquels ce n'est "pas grave".

Le rejet par le Conseil d'Etat de la première mouture du projet de réforme des retraite est également jugé "assez grave" par 57%, contre 27% d'un avis contraire, les autres n'en ayant pas entendu parler.

Enquête réalisée en ligne les 5 et 6 février auprès de 1.002 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.

dch/cg/sp

Partager cet article

Dans la même thématique

Lecornu ok
8min

Politique

« Ça passe ou ça casse ! » : semaine cruciale pour Sébastien Lecornu qui joue gros

Le premier ministre joue peut-être son avenir cette semaine. Après avoir de nouveau déjeuné avec les cadres du socle commun, il sera confronté jeudi à une nouvelle mobilisation puis recevra des socialistes très déçus après son interview. « Au moment où je vous parle, on est plutôt sur la dynamique de la censure », prévient Patrick Kanner, patron des sénateurs socialistes. Mais le PS ne ferme pas encore la porte.

Le

SIPA_01198257_000003
7min

Politique

Condamnation de Nicolas Sarkozy : la liberté syndicale des magistrats une nouvelle fois ciblée

Après celle de Marine Le Pen, la condamnation de Nicolas Sarkozy conduit une nouvelle fois certains responsables politiques à mettre en cause l’impartialité de la justice. Le Syndicat de la magistrature est, de nouveau, dans le viseur de l’extrême droite qui demande sa suppression. Cette suspicion à l’encontre de juges avait donné lieu au vote d’une disposition au Sénat en 2023 pour imposer le respect du principe d’impartialité pour les magistrats syndiqués.

Le