Présidentielle : 26,41 % de participation à midi, presque deux points de moins qu’en 2017
La participation au second tour de l’élection présidentielle s’élève ce dimanche 24 avril à midi, à 26,41 %, selon les chiffres du ministère de l’intérieur.

Présidentielle : 26,41 % de participation à midi, presque deux points de moins qu’en 2017

La participation au second tour de l’élection présidentielle s’élève ce dimanche 24 avril à midi, à 26,41 %, selon les chiffres du ministère de l’intérieur.
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

C’est près d’un point de plus par rapport à la participation enregistrée lors du premier tour (25,48 %). Cependant ce chiffre est en baisse de près de deux points par rapport au second tour de l’élection de 2017 : 28,23 %

Le taux de participation est en recul par rapport au deuxième tour des élections de 2012 -30,66 % - et 2007- 34,11 %. Un chiffre proche de celui de 2002 -26,19 %-, quand Jean-Marie Le Pen était face à Jacques Chirac.

Partager cet article

Dans la même thématique

Présidentielle : 26,41 % de participation à midi, presque deux points de moins qu’en 2017
3min

Politique

« On peut avoir de très bonnes habitudes de consommation sur internet, sans avoir à ruiner son éthique », estime cet étudiant en droit

A l’heure où les commerces de centre-ville ferment les uns après les autres, la consommation sur internet n’a jamais été aussi forte. Difficile de rivaliser lorsque certaines plateformes inondent le marché de promotions et livrent les commandes en moins de 24h. Pour Thomas Martinet, étudiant en droit à Montpellier, acheter en ligne n’est pas contradictoire avec une consommation responsable. Dans l’émission Dialogue Citoyen présentée par Quentin Calmet, il interpelle plusieurs sénateurs sur la nécessité pour les petits commerçants de s’adapter à l’ère du numérique.

Le

Elections legislatives, premier tour dans le gard.
4min

Politique

Municipales 2026 : la parité bouscule les petites communes

La parité s’impose désormais dans les communes de moins de 1 000 habitants. À partir des élections municipales de 2026, les listes devront respecter une stricte alternance femmes-hommes, et le panachage sera interdit. Une réforme qui, entre volonté d’égalité et réalités locales, divise fortement les élus.

Le