François de Rugy, soutien d'Emmanuel Macron, ex-candidat écologiste à la primaire socialiste élargie:
"Les deux chaînes de télévision qui organisent ce débat, qui sont des chaînes d'information, survalorisent un peu, n'arrêtent pas de dire que c'est le débat décisif, etc, mais ce n'est pas le débat décisif".
"Je pense que (le débat du second tour) reste le débat décisif parce que c’est un débat face à face. Là les candidats ne seront pas face à face, ils seront côte à côte et la frustration en réalité elle sera pour tout le monde. Elle sera pour les journalistes qui vont animer ce débat et qui vont devoir répéter onze fois la même question à chaque candidat, pour les candidats, mais aussi pour le public".
"Moi je suis assez sceptique sur le côté éclairant d’un débat à onze".
"Parler d’un projet alors qu’à chaque fois on vous demande de répondre en une minute, une minute trente, c’est un peu difficile (...). On aurait peut-être pu imaginer qu’il y ait des débats avec différents candidats à tour de rôle, mais plutôt par trois, quatre ou cinq".