Primaire du PS: Urvoas soutient Valls
Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, a apporté vendredi son soutien à Manuel Valls, estimant qu'il était le seul...

Primaire du PS: Urvoas soutient Valls

Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, a apporté vendredi son soutien à Manuel Valls, estimant qu'il était le seul...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, a apporté vendredi son soutien à Manuel Valls, estimant qu'il était le seul candidat de la primaire organisée par le PS à avoir une "stature d'homme d'Etat".

"Ce n'est pas parce qu'on veut être candidat qu'on est un bon candidat, je pense qu'être candidat ça ne s'improvise pas. Manuel Valls me paraît être le seul qui a une stature reconnue d'homme d'Etat", a déclaré à l'AFP le garde des Sceaux, en marge d'une visite en Nouvelle-Calédonie.

"Il est, dans les candidats qui ont été déclarés, celui qui est le mieux à même d'exercer la fonction suprême", a-t-il également estimé.

Proche de l'ancien Premier ministre, Jean-Jacques Urvoas a notamment mis en avant "l'expérience forgée dans un moment particulier de l'histoire de notre pays, (quand) il a fait face à cette vague d'attentats avec sang-froid, avec le souci de l'intérêt général, sans jamais perdre de vue les éléments de protection et de liberté publique".

"Manuel Valls incarne ce que la gauche peut apporter de mieux au pays. Je le soutiendrai par amitié et par lucidité politique", a-t-il également indiqué à la radio locale RRB, au lendemain de la clôture du dépôt des candidatures à la primaire.

Partager cet article

Dans la même thématique

Orleans: TARANIS 2025 transport aerien militaire de haute intensite
6min

Politique

« Accepter de perdre nos enfants » : « S’il faut employer de tels propos pour que chacun prenne conscience de la situation, le chef d’état-major a raison », selon Cédric Perrin

En appelant à « accepter de perdre nos enfants » en cas de guerre avec la Russie, le chef d’état-major des armées, Fabien Mandon, crée la polémique. Si ses propos sont « peut-être un peu maladroits », selon le président LR de la commission des affaires étrangères et de la défense du Sénat, Cédric Perrin, il les juge nécessaires face au « risque de confrontation majeure à l’est de l’Europe ».

Le