Primaire du PS: Vidalies apporte son soutien à Peillon
Le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies a indiqué apporter son soutien à Vincent Peillon dans la primaire initiée par...

Primaire du PS: Vidalies apporte son soutien à Peillon

Le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies a indiqué apporter son soutien à Vincent Peillon dans la primaire initiée par...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies a indiqué apporter son soutien à Vincent Peillon dans la primaire initiée par le PS, au nom de sa "capacité de rassemblement de la gauche" et du "respect des valeurs de gauche".

Dans une brève interview au quotidien Sud Ouest de samedi, le secrétaire d'Etat et député des Landes - qui ne se représentera pas -s'affirme "solidaire de l'action menée pendant tout le quinquennat", mais rappelle que Manuel Valls "n'a pas été Premier ministre pendant toute la mandature".

Pour Alain Vidalies, qui était favorable à une candidature de François Hollande, Vincent Peillon "répond le mieux" aux exigences de "capacité de rassemblement de la gauche et (de) respect des valeurs de la gauche du gouvernement". Il exprime aussi "une forme de fidélité à l'engagement de la gauche socialiste et républicaine", ajoute M. Vidalies, même s'il assure qu'il "ne (se) prononce pas contre quelqu'un", M. Valls en l'occurence, mais "pour" des valeurs et un bilan. Alain Vidalies précise qu'il ne fera pas campagne dans la primaire, se consacrant "totalement" à sa tâche gouvernementale.

Dans les Landes ancrées à gauche, l'ancien Premier secrétaire du PS et président du département Henri Emmanuelli a apporté cette semaine son soutien à Benoît Hamon dans la primaire, le jugeant "le plus à gauche" parmi les socialistes, tout en émettant des réserves sur son projet de revenu universel.

Partager cet article

Dans la même thématique

7min

Politique

Vote de confiance : « François Bayrou, qui a construit sa carrière politique sur le dialogue, est rattrapé par ses propres contradictions »

Soucieux de faire passer un budget avec 44 milliards d’euros d’économies, François Bayrou tente un mouvement inédit sous la Ve République, en demandant un vote de confiance près de neuf mois après sa nomination et sans majorité. Ses faibles chances de succès laissent désormais planer le spectre d’une nouvelle dissolution.

Le