Quatennens « regrette » l’absence de Autain ce week-end
Adrien Quatennens, numéro 2 de LFI et député du Nord, a regretté lundi l'absence de sa collègue Clémentine Autain ce week-end à l...

Quatennens « regrette » l’absence de Autain ce week-end

Adrien Quatennens, numéro 2 de LFI et député du Nord, a regretté lundi l'absence de sa collègue Clémentine Autain ce week-end à l...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Adrien Quatennens, numéro 2 de LFI et député du Nord, a regretté lundi l'absence de sa collègue Clémentine Autain ce week-end à l'assemblée représentative du mouvement, estimant que "le mieux" pour critiquer ses travaux était "encore d'y participer".

"Les évolutions proposées à l'assemblée représentative ont été présentées au groupe parlementaire, chacun d'ailleurs peut s'y impliquer. Clémentine Autain a eu les informations", a-t-il déclaré sur Europe 1.

"Je regrette qu'elle ne soit pas venue" au bois de Vincennes où avait lieu cette assemblée, "mais c'est un non événement, je sais ce que sont nos agendas", a-t-il ajouté.

"Je veux bien comprendre qu'elle ne comprenne pas si elle commente à la télévision des travaux qui sont en cours", a-t-il également ironisé; "Clémentine Autain a toute sa place dans nos discussions, mais le mieux c'est encore d'y participer".

La députée LFI de Seine-saint-Denis a affirmé dimanche ne pas savoir comment M. Quatennens avait été porté la veille au rang de coordinateur de LFI, dans une nouvelle critique du fonctionnement interne de la formation mélenchoniste.

"Nous avions décidé à Bordeaux lors de notre dernière convention qu'il y aurait une coordination des différents espaces du mouvement qui allait se refonder, cela avait été acté. Cette coordination s'est réunie la semaine dernière. Jean-Luc Mélenchon et moi avons proposé que je puisse m'occuper du démarrage de cette coordination mais tout ça est extrêmement souple", a expliqué le député du Nord.

Selon lui, "le but n'est pas de faire une direction politique figée, quelque chose de rigide, mais d'assumer un espace de refondation dans lequel - j'insiste bien - tous les Insoumis devront pouvoir s'impliquer et on y veillera".

Le numéro deux du mouvement a également souligné le "rôle particulier" de Jean-Luc Mélenchon dans le mouvement. "S'il ne (l)'avait pas créé, la situation politique française et notamment du courant de pensée que nous représentons ne serait pas la même. Son rôle constitue le fil rouge de notre mouvement", mais "face à nos adversaires politiques", il y a désormais "une nouvelle équipe", a-t-il expliqué.

Partager cet article

Dans la même thématique

SIPA_01217179_000043
7min

Politique

Conflit entre Israël et l’Iran : quel rôle peut jouer la France ?

Depuis les premières frappes israéliennes sur les sites nucléaires iraniens, la France a reconnu le droit d’Israël à se défendre. Dans un contexte de dégradation des relations diplomatiques entre Emmanuel Macron et Benyamin Netanyahou, la France n’a, toutefois pas encore, participer aux opérations de défense de l’Etat hébreu.

Le

Quatennens « regrette » l’absence de Autain ce week-end
3min

Politique

Congrès du PS : « le Parti socialiste devrait prendre ses distances » avec les propos de Jérôme Guedj sur Jean-Luc Mélenchon, estime Éric Coquerel

Invité de la matinale de Public Sénat, le député (LFI) et président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale a réagi à la déclaration de Jérôme Guedj sur Jean-Luc Mélenchon lors du Congrès du PS, le traitant de « salopard antisémite ». Éric Coquerel et la France insoumise demandent au Parti socialiste de « prendre ses distances » avec cette déclaration.

Le

Quatennens « regrette » l’absence de Autain ce week-end
3min

Politique

Brice Teinturier : « Il n'y a plus de débat en France, il y a de l'invective »

Lors de ses vœux, le Président a annoncé son souhait de voir les Français « trancher » sur « des sujets déterminants », ce qui laisse supposer que le chef de l'État envisage un retour au référendum. Néanmoins, les sujets sur lesquels les Français souhaitent trancher sont nombreux, pouvoir d'achat, fin de vie… Le référendum recolle-t-il vraiment les Français à la politique ? Invités de l’émission spéciale Dissolution, un an après, Brice Teinturier, Anne Levade, Laure Salvaing et David Djaïz tentent d'y répondre.

Le