Réactions politiques à la démission du chef d'état-major des armées Pierre de Villiers, en conflit avec le président Emmanuel Macron:
- Gérard Larcher, président LR du Sénat: "Démission de Pierre De Villiers: hommage à un grand soldat qui jusqu'au bout a servi la Nation avec courage et dignité" (tweet)
- Jean-Jacques Urvoas, ancien Garde des Sceaux PS: "de cette démission du CEMA, on pourrait retenir que le chef de l'Etat ne reconnaît pas au Parlement le droit d'être informé" (tweet)
- Florian Philippot, vice-président du Front national : "D'abord un hommage au général Pierre de Villiers qui est un grand soldat. En démissionnant il montre qu'il respecte les institutions. Le président Macron ne s'est pas comporté en chef, il s'est comporté en petit chef" (sur franceinfo)
- Benoît Hamon, ex-candidat PS à l'élection présidentielle: "La démission du Gal Pierre de Villiers après l'annonce des coupes budgétaires pour nos armées est le nouveau chef d'œuvre d'Emmanuel Macron" (tweet)
- Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France : "Le départ du général de Villiers restera comme une tache sur le quinquennat de M. Macron. A cause de lui, nos armées sont clairement en danger" (communiqué)
- Eric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes: "Macron préfère Darmanin au général #deVilliers ! Quelle faute irresponsable ! Hommage au général Courage!" (tweet)
- Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat: "La brèche que vient d'ouvrir Emmanuel Macron est un tournant, celui du déclin de notre armée, celui d'une ambition et d'un rayonnement revus à la baisse pour notre pays" (communiqué)
- Daniel Fasquelle, député LR du Pas-de-Calais: "Je comprends tout à fait la décision du général de Villiers et très franchement, dans cette affaire, le président de la République s'est très mal comporté et n'a pas été à la hauteur de la fonction présidentielle" (sur LCI)
- Eric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis: "Je regrette cette démission parce que le général de Villiers est un patriote et un homme d'honneur. On constate une chose, c'est que quelqu'un ne peut pas s'exprimer devant la commission de la Défense à l'Assemblée nationale. Si lui-même ne peut pas défendre sa mission, à ce moment là on n'est plus dans une démocratie" (sur LCI)
- Xavier Bertrand, président LR des Hauts-de-France: "Un grand soldat s’en va, ses vérités sont toujours là (...) Remettre en cause le budget des , c’est oublier que nous devons protéger ceux qui nous protègent" (tweet)