« Cette année, les comptes (de la SNCF) sont positifs, l’ouverture à la concurrence n’est pas pour maintenant (…) c’est l’urgence jupitérienne que nous avons aujourd’hui » a fermement déploré Martial Bourquin au micro de Public Sénat.
« Après s’en être pris aux chômeurs, après s’en être pris aux immigrés, M.Macron s’en prend aux cheminots » a-t-il accusé en référence à la fin du recrutement au statut contenu dans la réforme. « On sait que les cheminots français font partis des moins bien payés d’Europe. On parle de leur statut comme d’un avantage en nature extraordinaire. Il n’y a rien de tout ça » (…) J’ai l’impression que M. Macron s’en prend toujours aux plus faibles, aux plus humbles…. On ne va pas présenter un cheminot comme un privilégié nom de nom !» a-t-il martelé.