Réforme des retraites : une réponse à la crise des « gilets jaunes » réitère Sibeth Ndiaye
Au micro de Public Sénat, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, a expliqué en quoi la réforme des retraites du gouvernement était une réponse à la crise des « gilets jaunes ».

Réforme des retraites : une réponse à la crise des « gilets jaunes » réitère Sibeth Ndiaye

Au micro de Public Sénat, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, a expliqué en quoi la réforme des retraites du gouvernement était une réponse à la crise des « gilets jaunes ».
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le Premier ministre Edouard Philippe a indiqué aujourd’hui, que la concertation sur la réforme des retraites prendra fin « le 9 ou 10 décembre » et qu’il présentera ensuite le projet du gouvernement « dans sa globalité ».

Au micro de Public Sénat, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a insisté sur le travail de concertation fait par l’exécutif durant les rencontres bilatérales : « Je crois qu’il y aura eu, à l’issue de cette période, près de 350 réunions avec les organisations syndicales, patronales et professionnelles. »

Interrogée sur le fait que la porte-parole avait dit que la réforme des retraites était une réponse à la crise des « gilets jaunes », Sibeth Ndiaye a répondu : « La crise des « gilets jaunes » est basée aussi sur le sentiment profond qu’il existe des injustices et des inégalités. Et moi, je crois que quand on est une femme, qu’on est à la tête d’une famille monoparentale et qu’on a du mal à boucler ses fins de mois, on fait partie de ces femmes qui seront victimes de faible pension à la fin d’une carrière. Et justement le système que nous proposons va lutter contre cette inégalité ».

Dans la même thématique

AFFICHES
3min

Politique

Enquête sur des prêts accordés au RN : quelles sont les règles en matière de financement de la vie politique ?

Le RN est de nouveau dans le viseur de la justice. Selon Challenges, entre 2020 et 2023, 23 particuliers ont accordé de manière récurrente des prêts au Rassemblement national, pour un montant total de plus de 2,3 millions d’euros. Après la révélation de l’ouverture d'une enquête judiciaire, Jordan Bardella a dénoncé une « opération de harcèlement » et « une volonté de mort financière » de son parti. Public Sénat revient sur les règles qui encadre le financement de la vie politique.

Le