Par Public Sénat
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Retrouvez au fil de la soirée du 24 avril tous les résultats, les réactions et les analyses de nos experts sur le second tour de l’élection présidentielle.
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Premier enseignement de la sociologie électorale, d'après le sondage de notre partenaire Ipsos Sopra Steria : les très jeunes ont largement voté pour Emmanuel Macron.
👉 Lire notre article pour en savoir plus
Emmanuel Macron réélu, a bénéficié d’un report des voix de Yannick Jadot, de Valérie Pécresse et aussi d’une grande partie des électeurs de Jean-Luc Mélenchon. C’est l’un des enseignements de notre sondage Ipsos-Sopra Steria, avec France 2, France Inter, Public Sénat et LCP.
Au Champ-de-Mars, Farrah El-Dibany, mezzo-soprano de l'Opéra de Paris, a chanté la Marseillaise après le discours d'Emmanuel Macron.
Le président de la République, qui avait l'air ému après ses premières phrases prononcées devant ses soutiens, rassemblés au Champ de Mars, à Paris, a assuré vouloir continuer d'assurer les progrès pour chacun et faire de la France « une grande nation écologique ». « Je sais que nombre de Français ont voté pour moi, non pas pour mes idées, mais pour faire barrage à celles de l'extrême droite. Je veux les remercier et leur dire que j'ai conscience que ce vote m'oblige pour les années à venir. »
Le président réélu fait une arrivée très différente de 2017, où il était seul au milieu des colonnes du Louvre. La musique de fond reste la même : l'ode à la joie, de Ludwig Van Beethoven.
Explosion de joie et ambiance festive, au Champ-de-Mars, à Paris, à l’annonce de la victoire d’Emmanuel Macron. C’est « un grand soupir de soulagement » expliquent les sympathisants, alors qu’un DJ assure l’ambiance.
Les estimations de notre partenaire Ipsos Sopra Steria, pour France 2, France Inter, Public Sénat et LCP, s'affinent au fur et à mesure de la soirée. Désormais, Emmanuel Macron l'emporte avec 58,8 % des voix, contre 41,2 % pour Marine Le Pen.
21h12 : Marine Le Pen à 41,2 %, si près et pourtant si loin
Après 2017, la candidate du Rassemblement national a une nouvelle fois échoué au second tour de l’élection présidentielle. Mais sa progression laisse penser que la dédiabolisation de Marine Le Pen est en bonne voie, puisqu’avec 41,5 % des suffrages - contre 33 % en 2017 - elle a rassemblé 3 millions de voix supplémentaires, dans un second tour bien plus serré.
👉 Lire notre récit d’une « campagne presque parfaite »
Les estimations de notre partenaire Ipsos Sopra Steria, pour France 2, France Inter, Public Sénat et LCP, s'affinent au fur et à mesure de la soirée. Désormais, Emmanuel Macron l'emporte avec 58,5% des voix, contre 41,5 % pour Marine Le Pen.
Le candidat de Reconquête ! a lancé un appel au Rassemblement national et annoncé poursuivre son combat « contre l'oeuvre de déconstruction contre notre pays, menée par Emmanuel Macron. » « Malheureusement pour la France, c'est bien Emmanuel Macron qui a été élu. Y a-t-il une fatalité pour que les idées nationales perdent toute les élections alors qu'une majorité de notre peuple souhaite que la France reste la France ? »
Selon notre sondage Ipsos-Sopra Steria pour Radio France, France Télévision, Public Sénat et LCP, plus de la moitié des Français ne souhaitent pas accorder à Emmanuel Macron une majorité aux prochaines élections législatives. 56 % veulent voir les principaux partis de gauche former une alliance et qu’ils présentent des candidats communs dans les circonscriptions.
Le Président-candidat remporte l’élection présidentielle face à Marine Le Pen, au terme d’une campagne qui laisse un goût d’inachevé et où l’extrême droite n’a jamais été aussi forte. Face à un pays divisé, Emmanuel Macron devra réussir à réconcilier les Français, en se montrant plus à l’écoute, tout en cherchant à mener à bien ses réformes.
Le leader de la France insoumise a fait une déclaration très rapidement après l'annonce de la réélection d'Emmanuel Macron, depuis son QG à Paris.
20h16 : 42% des électeurs d'Emmanuel Macron ont voté pour faire barrage à Marine Le Pen
Le sondage de notre partenaire Ipsos Sopra Steria, avec France 2, France Inter, Public Sénat et LCP, donne quelques explications au vote qui vient de donner Emmanuel Macron vainqueur du second tour de la présidentielle. Bien que minoritaire, le vote utile en faveur de Macron reste sensiblement élevé, puisque 42 % des électeurs du président sortant ont d’abord voté pour lui afin de faire barrage à la candidate d’extrême droite, Marine Le Pen.
La candidate faisait sa déclaration depuis le lieu de réception du Rassemblement national, au pavillon d'Armenonville, au bois de Boulogne.
Elle a pris la parole 10 minutes après l'annonce des résultats à 20 heures.
Emmanuel Macron est réélu avec 58,2% des voix contre 41,8% des voix pour Marine Le Pen selon notre partenaire Ipsos-Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France, France24/RFI/MCD, Public Sénat/LCP Assemblée Nationale et Le Parisien-Aujourd’hui en France.
Le taux d'abstention est de 28,2% selon notre partenaire Ipsos-Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France, France24/RFI/MCD, Public Sénat/LCP Assemblée Nationale et Le Parisien-Aujourd’hui en France.
Avec 63,23 % à 17 heures, le taux de participation au second tour de l’élection présidentielle est historiquement bas. Il accuse un recul d’un peu plus de deux points par rapport au scrutin de 2017 (65,30 % à la même heure), qui voyait également s’affronter Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Le taux de participation à 17 heures marque un très net recul par rapport au deuxième tour des scrutins de 2012 (71,96 %) et 2007 (75,11 %). La participation est également en baisse par rapport au premier tour il y a deux semaines (65 %).
Le taux d’abstention finale pour ce scrutin est estimé à 28 %, selon un pointage réalisé à 17 heures par Ipsos-Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France, France24/RFI/MCD, Public Sénat/LCP Assemblée Nationale et Le Parisien-Aujourd’hui en France.
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La porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a assuré ce mercredi à la sortie du Conseil des ministres qu’Emmanuel Macron a acté qu’il n’y avait pour le moment pas « de socle plus large que celui qui est en place aujourd’hui » pour gouverner. Mais, après les consultations des responsables de partis mardi, « le président continue à écouter et à tendre la main ».
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Si le président de la République dit ne pas souhaiter cette hypothèse avant 2027, un blocage durable de l’Assemblée nationale pourrait le contraindre à déclencher de nouvelles élections législatives. Explications.
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