Par Public Sénat
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« Commencez par calmer les forces de l'ordre. » L’actualité a rattrapé le président de la République ce samedi au salon de l’agriculture. Emmanuel Macron a été interpellé par une femme gilet jaune au sujet de la réforme des retraites et des violences policières. Friand de ce genre séquence, le président de la République a pris le temps de la discussion sans parvenir à réconcilier. Sa solution, « arrêter de sortir manifester comme ça et parler », n’a bien sûr pas convaincu la gilet jaune qui a néanmoins accepté de rencontrer ultérieurement Emmanuel Macron (voir la vidéo en Une). « Je peux prendre vos coordonnées, vous faites un groupe et je vous reçois. Moi, je suis pour le dialogue », a en effet proposé le président de la République.
Un autre gilet jaune, plus connu, Éric Drouet, a lui été exfiltré du salon d’agriculture.
Un peu plus loin, Emmanuel Macron a de nouveau été alpagué par un retraité cette fois. Motif de la discorde : « Les coups de poignards que vous nous donnez sur les retraites ». Là encore le président de la République a sauté sur l’occasion pour entamer le dialogue : « Moi, je fais baisser votre taxe d’habitation vous avez vu ça et les impôts sur le revenu aussi » (voir la vidéo ci-dessus).
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« Les politiques parlent des migrants comme si c’étaient tous des sauvages » s’insurge Louis Chedid
C’est un nom, une voix, des textes et des mélodies qui nous accompagnent depuis 50 ans. S’il chante l’amour, l’absence, et la mélancolie, parfois aux côtés de ses enfants, il reste d’abord un homme engagé contre les discours de haine. Auteur d' « Anne, ma sœur, Anne », ce descendant d’immigrés chrétiens libanais, réfugiés en Egypte, refuse que les populations immigrées soient caricaturées et instrumentalisées. Cette semaine, Louis Chedid est l’invité de Rebecca Fitoussi dans Un monde, un regard.
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Un an après la dissolution voulue par Emmanuel Macron, le paysage politique français semble avoir évolué vers un blocage institutionnel. A l’Assemblée, l’absence de majorité empêche les textes d’être votés. Pire, des motions permettent d’enjamber l’examen à l’Assemblée pour que le débat soit tranché en commission mixte paritaire. Comment la dissolution a-t-elle modifié le fonctionnement des institutions ? C’est la question à laquelle répondent les invités de Rebecca Fitoussi et Jean-Pierre Gratien dans cette émission spéciale sur la dissolution, un an après.
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